13/05/2009
J'ai pris bien soin de m'étendre sur ma vie d'étudiant dans l'approche scientifique afin qu'on ne puisse se méprendre sur ce que je suis et ce que sont les intuitions scientifiques que j'ai reçues.
Des rapports/équations que j'ai pu établir en concomitance avec l'intégrateur de puissance, il ne me reste rien sinon peut-être que l'idée du principe:
Prenons l'équation de base que nous connaissons tous: E =
mc2 , on peut noter qu'elle est relative dans son principe et ... heureusement.
Néanmoins pour arriver à la mise à jour de l'intégrateur
de puissance (ou moteur à ion intégral) dont les performances n'ont aucune
commune mesure, par sa douceur, sa maniabilité et sa puissance, avec tout ce
qui a été connu en fait d'énergie jusqu'à présent, il faut élargir une
telle équation à "sa totalité". Il ne faut plus se représenter
"E" comme symbole de l'énergie mais comme celui du "Tout
possible et impossible". D'autre part il ne faut plus se représenter la
formule "mc2" comme le symbole de la matière ( masse et lumière) mais comme celui
du"pur néant". Ce qui donne une relation d'égalité impensable
"TOUT/néant". En effet il n'y a aucune égalité possible entre
ces deux termes . En conséquence une telle équation "E=mc2" va
devenir un rapport de fait: "E / mc2" sans équivalence
uniforme entre ses deux termes, c'est à dire une équation non quantifiable.
La conduite de l'évolution d'un tel rapport pour arriver à la formule nécessaire (de l'intégrateur de puissance) ne peut se faire qu'en s'appuyant sur l'intuition pure (foi) sans appui possible de vérification. (La science devra cesser d'être empirique et avec les mathématiques sur les quelles elle s'appuie, entrer dans le champ de la métaphysique et de la religion, aussi incroyable que cela soit pour beaucoup)
Mais c'est après être arrivé dans une joie immense à une telle formule et
avoir reconnu qu'un seul messianisme possible était celui de Jésus-Christ
(Dans cette vision mathématique du Tout, Dieu n'étant pas matérialisable et
étant dans la nécessité de faire intervenir scientifiquement la notion métaphysique
non quantifiable d' "être"et
de "néant",
jusqu'à présent seulement, il
faut désigner un intermédiaire, véritable Dieu-homme) que
j'ai vu l'évolution terrible qu'on pouvait en faire jusqu'à pouvoir faire
éclater l'univers comme un ballon de baudruche en prenant la place du
Christ, Seul salut matériel et spirituel du monde.
De cette suite terrifiante, je ne veux rien dire, sinon, s'il
y a lieu, à l'autorité spirituelle qu'elle peut concerner.
Je me rends bien compte de la pauvreté et de la grossière approximation que ce texte représente, mais ce qui est le plus important au temps présent, c'est d'éradiquer l'esprit d'intégrisme de la surface de la terre, pour que le monde puisse travailler à la Gloire de Dieu et à son salut, dans la paix.
Rappel du journal: 28/08/02 En proposant ma page mathématique à un professeur de bonne volonté de cette discipline, je me rends compte que si ce galimatias pourrait peut-être avec beaucoup d'efforts arriver à s'expliquer, je me serai complètement trompé si j'affirmais que ma vocation est aussi d'aider la science à franchir le pas de la FOI. En effet dans ce cas je me mettrai en avant et non pas le Christ seul, LUI que j'ai choisi contre moi et qui ne peut régner que sans partage. D'autre part lorsque la science arrivera, par l'un quelconque de ses éminent représentants, à la réalité objective de ma vision, l'acte d'humiliation qu'elle aura à faire ne peut lui être suggéré que par l'esprit du Christ seul et non pas en tout état de cause par la faiblesse orgueilleuse du mien qui capoterait sûrement dans cette entreprise....
29/11/05 www.f-v-m.net unitarité .....
En se fondant sur l’esquisse de métaphysique unitaire qu’il m’a été donné d’exprimer et qui s’appuie aussi bien sur les données des évangiles que sur celles de l’Église, la raison se joignant à la foi pourrait appréhender l’Inconnaissable comme Principe de Contradiction Moral .... La conséquence en serait que tous les domaines de la connaissance humaine devraient en être touchés, et principalement les sciences physiques et mathématiques, pour déboucher sur une réalisation concrète dont plusieurs ont eu la prémonition (intégrateur de Puissance, moteur à ion, char du Seigneur, ...?) ... Donc la physique comme les mathématiques devraient se reconnaître comme l’ENVERS temporel de la Réalité éternelle Incommensurable... On doit joindre ici la Morale, dans le sens du BIEN absolu, puisqu’elle doit être partie intégrale du Principe de Contradiction sans laquelle ce ne pourrait être acceptable... On dira par conséquent que ces connaissances sont comme tout ce qui est temporel le fait de l’humiliation Divine, suscitant la liberté humaine à la fois matérielle et spirituelle.
On ira jusqu’à créer un signe "(" indiquant la réaction interne physique et mathématique devant l’ENDROIT de l’Insaisissable, indéfinissable et inquantifiable qui confirme la foi religieuse en lui reconnaissant une relation de fait avec l’univers .Ainsi les différents paradigmes seront lus et développés non plus en équation mais face à ce signe .. "(" comme un rapport d’un type nouveau .... En réalité ce signe est double "( )" et devra être détouré en fonction du choix libre de l'humanité.... Soit en relation de soumission "(" à l'Inconnaissable, pour le plus grand bien de l'homme soit en relation de rupture, dont je n'ose même pas écrire le signe, qui présidera aux fins dernières de l'univers. Les paradigmes mathématiques et physiques trouveront ainsi une unité fusionnelle ......
Pour la relation "(" qui introduit en science dans un mode de foi religieuse tout nouveau à cette discipline le Principe de Moralité, voir le journal spirituel du 11/05/06 .....
C'est vrai que dans le vaste problème de la logique mathématique et physique des hommes éminents et cultivés se sont succédés tout au long de l'histoire, ce n'est pas à moi à les concurrencer dans leurs approches couronnées de succès à échéance dont la vie actuelle bénéficie. Les intuitions de l'"intégrateur" ou "moteur à ion" ou "char du Seigneur" sont encore peut-être très loin d'un début de réalisation. Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, étant donné les spécificités de cet engin fabuleux, l'incompétence technique , secondée par une intuition mystique de foi chrétienne, y serait plus utile qu'une trop savante approche, sans elle... Ainsi avec Jésus-Christ homme, à qui rien ne pouvait être indifférent pourvu que cela soit vécu dans l'Amour de DIEU et des autres, nous avons à continuer notre bonhomme de chemin....
Avant tout il convient de bien préciser la notion de DIEU puisque nous aurons à introduire en science le concept de foi au hors-nature. Rien de mieux que de recopier ce que le journal spirituel en dit:
19/09/06 définition de DIEU ...
TOUT est fait dans l’au-delà de l’univers, notre but éternel, comme dans l’univers, notre gestation temporelle, pour le Christ Jésus Trinitaire, par LUI et avec LUI (- étant sur terre la plénitude de l’humiliation Divine, à la fois un et multiple, à laquelle on s’unit par l’Amour ou toute autre voie droite qui y conduit -) = joyeux pour notre salut, jusqu’aux abîmes de notre révolte originelle, d’être dans la souffrance de SA Passion dès SON incarnation jusqu’à SA résurrection de 40 jours sur terre suivie du retour à SON règne sans fin=.
De même il convient de préciser ce qu'on entend par "univers" dans ce même journal spirituel:
20/09/06 définition de l’univers ......
TOUT étant DIEU, au Ciel comme sur la terre, hormis le péché, l’univers est la réalisation de l’humilité et la douceur du centre Divin, c’est-à-dire de SON humiliation s’extradant de l’Éternité Glorieuse pour s’anéantir devant et dans SA créature, lui remettant par la raison la possession progressive de cet univers en échange de sa foi nue en Jésus-Christ Rédempteur, notionnel ou non ....
Ceci dit pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté, la question reste du comment il est possible de transformer les sciences en dépendance de l'AU-DELA qui jusqu'à présent a été considéré comme l'Immuable sans rapport avec elles ou dans un rapport paralysant de la métaphysique d'où la science s'est détachée vigoureusement au cours des siècles . Il ne m'est possible que de donner un témoignage de faisabilité mais dans l'entrée des sciences dans la foi, c'est-à-dire dans les données religieuses. Ainsi DIEU qui n'est même pas désignable, mais que l'on reconnaît en un homme, Jésus-Christ, a bien avec nous un rapport de "Principe de Contradiction Morale" (cf. philosophie ) à la fois Immuable ET cependant toujours en Mouvement Vers le Bien.
Donc autant que je me souvienne appliquant je suppose ces principes en 1963 il m'a été donné de mettre à jour, dans un langage mathématique, la formule de l'"intégrateur de Puissance" ("moteur à ion" ou "char du Seigneur" suivant d'autres témoins) probablement "entitaire" soit 2 éléments additionnels à ce qu'on peut appeler (?) le numérateur et 4 éléments (?) soustractifs et additionnels à ce qu'on peut appeler (?) le dénominateur ...
26/09/06 mathématiques ....
La structure mathématique de l’univers par l’observateur humain coïncide avec la structure de sa réalité objective. Cette coïncidence, qui fait l’admiration de tous, a une raison unique mais mystique qui est l’humiliation totale de DIEU vis à vis de SA créature c’est à dire SA Volonté de lui remettre la clef de l’environnement humain de gestation d’éternité. En ce qui concerne ce qui m’a été donné de voir, ceci se ferait totalement d’abord dans un temps bénéfique d’heureux épanouissement si l’homme veut bien accepter objectivement sa dépendance vis à vis de Jésus-Christ .. Ensuite tout s’achèvera ......
29/09/06 problématique mystique ...
On peut constater par expérience que 10% grosso modo des fidèles, quelle que soit leur hiérarchie, sont ouverts à la mystique, 80% abordant le fait religieux d’une manière logique et 10% d’une manière rationaliste rigoureusement opposée à la mystique. Poser la question de vouloir définir la mystique, c’est avouer n’y pas accéder. La mystique pose d’une façon claire pour elle-même, bien qu’il faille toujours chercher, le fondement des religions.... Toutefois, encombrée de tout le fatras du détail logique et de la violente opposition rationnelle humaine, elle a besoin de plus en plus d’une expression universelle davantage évidente dans son énoncé et bien sûr dans son témoignage moral.... En effet il est apparu avec certitude que le domaine des sciences est appelé concrètement à se réunir à la mystique. Cette dernière doit cependant se lier impérativement à la personne essentielle de Jésus-Christ, faute de quoi l’univers entier s’effondrerait.....
Mais il ne m'en est pas moins donné de continuer cahin caha ...
19/10/06 finalité mathématique ...
Si j’ai introduit dans la rubrique mathématique la notion insolite de Jésus-Christ, ce n’est absolument pas parce que les évangiles sont nécessaires aux calculs notamment de la théorie de supra-relativité. Mais c’est parce que ceux qui en arriveront à l’aboutissement auront besoin de l’état indispensable de foi qui comme je l’ai dit ailleurs, doit être avant tout l’état d’humiliation normal à l’homme primitif. En effet je confirme que la manière d’aborder les conséquences scientifiques d’un rapport avec l’au-delà de notre univers est double. L’une amène, si nous le voulons et si DIEU le permet, à reconnaître la dépendance à l’au-delà en promouvant la preuve concrète rationnelle de la nécessité de la foi en DIEU. Mais si nous ne nous soumettons pas dores et déjà à l’humble homme-DIEU, Jésus-Christ, comme maître et Seigneur nous arriverions rapidement à l’autre manière refermant le monde sur lui-même en y apportant une preuve toute aussi concrète et rationnelle du contraire. Il est évident que dans ce cas la foi au Christ Jésus, toujours nécessaire au salut éternel de l’homme, serait d’autant plus difficile à exercer. Quant à moi, il m’a été donné de voir que de cette façon la fin apocalyptique, véritablement terrifiante, de l’univers entier ne saurait tarder ....
Ainsi après avoir faite sienne l'irrationalité de la foi, les sciences vont amener l'humanité à un choix moral irrémédiable.
Cet extrait du journal à sa place ici;
24/05/07 radicalement nouveau ...
La mystique consiste en l’expérience sensible de l’au-delà de la nature. Ses caractéristiques et procédés sont extrêmement nombreux. Pour la situer brièvement face à la rationalité on peut dire que cette dernière repose sur la preuve par neuf extérieure des événements matériels qui sont reproductibles dans les mêmes circonstances; la mystique, elle, repose sur un sentiment de certitude absolue qui est intérieur n’appelant pas forcément de preuves matérielles, malgré des conséquences parfois visibles qui ne sont pas reproductibles suivant la logique rationnelle (miracles, bilocations, visions, motions hors-nature, etc...). Les religions sont fondées essentiellement sur la mystique bien que la majorité de leurs membres puisse ne pas y accéder.... Ce qui est radicalement nouveau dans l’énoncé du site www.f-v-m.net, c’est que les sciences physiques dans leurs avancées à venir apparaissent comme devant se heurter à la barrière de l’infini mathématique et que pour la franchir elles vont nécessairement avoir besoin de l’intrusion de la mystique, reconnaissant par là même la vérité des religions.... Pourquoi alors l’Église catholique qui puise l’essentiel de ses saints dans les mystiques y paraît-elle constamment réticente? C’est pour la simple raison qu’ AVEC ou SANS mystique elle a à confirmer la foi sans concession des Évangiles. Cependant à fait existentiel radicalement nouveau n’a-t-elle pas à susciter une position sinon nouvelle, puisque la révélation est close, tout au moins un élément original? Cet élément existe et a toujours été en connivence étroite avec la charité chrétienne, c’est l’humilité et la douceur Divine que le Christ Jésus révèle en deux mots et par tout le vécu de sa vie qu’on doit confirmer comme le fondement de toutes les religions sans détour quelles qu’elles soient...
02/07/08
Dans ce long tâtonnement pour éclairer les données de 1963, il est nécessaire de revenir au raisonnement qui pousse d’une part à faire intervenir le fait mystique dans les sciences notamment mathématiques et l’unité morale nécessaire du monde que Jésus-Christ y apporte.
Qu’a donc à voir le « fait mystique » ici ?
D’abord de quoi s’agit-il ? Il s’agit de faits concrets:
1/ qui dépassent la raison des choses communes et de ce fait interpellent l’intime de chacun.
2/ qui dès lors ne sont pas reproductibles scientifiquement.
3/ qui donnent à ceux qui en font l’expérience une certitude de toucher l’infini de l’au-delà.
C’est ce troisième point qui retient davantage notre attention. Pourquoi cet infini de l’au-delà dont certains témoignent de la certitude, ne serait-il pas pris en compte par les sciences ?... Mais c’est vrai aussi d’autre part que son application peut être double et que l’humanité a besoin ici d’une unité morale sans équivoque.
Cette ambiguïté des applications morales de la science,
qui peut dénaturer la métaphysique de l’essai du traité d’unitologie, a
besoin impérativement aussi bien pour la vie dans l’univers que pour la vie
Éternelle, de la révélation donnée par le Messianisme du Coeur du Christ Jésus.
C’est pourquoi Sa personne trois fois Sainte est nécessaire au salut
humain, même scientifique, dont Elle unit la contradiction par un
anneau précieux indestructible de foi en DIEU dans la clarté comme dans la
nuit.
05/05/09 conclusion ....
En d'autres termes plus simples on dira que les mathématiques nécessaires auront à supprimer la "limitation" logique de l'unité-tendant-vers-l'"infini" qui est le concept actuel des mathématiques modernes pour la supplanter par un "acte-de-foi" en la réalité de l'au-delà de l'Univers. Avec cependant toujours au-dessus de soi cette épée de Damoclès que l'interprétation donnée de l'unité, peut être soit de "dépendance" à l'au-delà pour un épanouissement sans précédent de l'humanité et une collusion des sciences avec la religion, soit inversement d'"indépendance" à l'au-delà pour une terrible épreuve de décadence irréversible et apocalyptique.
N.B.- si maintenant personne ne comprend ou ne s'intéresse à ce qui est dit ici, l'auteur déjà très âgé aura fait cependant son travail.
Un professeur de théologie dira que la foi et la science sont dans deux domaines strictement différents. Et je ne peux que l'approuver hautement. Mais que la science ait à entrer dans le domaine de la foi et y donner preuve et contre-preuve, de cela je n'y puis rien. J'ai seulement à en témoigner.
De même un professeur de mathématique dira qu'il faut avoir fait longtemps de très hautes études pour se permettre de parler des sciences et que Jésus-Christ Lui-même appelle à l'humilité. Je ne peux aussi que l'approuver hautement. Mais de même je n'y puis rien. J'ai seulement à témoigner.
Maintenant un professeur de philosophie y trouvera peu d’intérêt
puisqu’au « pour » peut succéder le « contre » et que
seul suffirait le « salut des âmes ». Je ne peux encore que
l’approuver hautement. Seulement ne traite-t-on pas de la Volonté de Dieu sur
la terre comme au Ciel et n’aurais-je pas à en témoigner ?