Paris 26 janvier 2007
C'est progressivement qu'il se fait jour ......
Préface
L'auteur, dans le cours de sa vie chrétienne (biographie interne) ou scientifique (intuitions prophétiques) ou artistique (recherches esthétiques) s'est trouvé affronté intensément, qu'il le veuille ou non, à la double répercussion dernière à venir des sciences qui en aucun cas ne peuvent se considérer en dehors des religions
Il s'est trouvé exposé à faire l'expérience des premiers principes d'unité de pensée, en philosophie qui semblent rejoindre la nécessité de l'oecuménisme, c'est à dire de l'unité, d'abord des religions chrétiennes séparées, puis des philosophies et notamment des métaphysiques, puis des sciences comme de l'art sans finalement oublier un regard sur les autres disciplines humaines, et sans, bien sûr, oublier l'union avec les différentes religions non chrétiennes.
N.B.- Il s'agit donc avec le don de la foi en science comme en religion d'obtenir de l'humanité, l'acte de justice à rendre au Christ dans Son humilité Divine, source de tout amour.
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Introduction au site
Le mystique, pris dans l'engrenage de l'histoire humaine ne peut avoir en réalité d'influence que par sa petitesse.
Des expériences mystiques que j'ai éprouvées, j'en ai déduit trois points essentiels à réaliser:
- Confirmer l'avancée eschatologique inéluctable des sciences
- Annoncer le danger qui y est inclus
- Permettre la conversion au Christ catholique du plus grand nombre.
N'ayant pratiquement d'autres sources de connaissances que celles indiquées dans mes biographies, je pense devoir confirmer que les mathématiques et sciences physiques ont bien à franchir le pas de la foi en Dieu tout en choisissant comme seul intermédiaire donné à l'homme, le Seigneur Jésus-Christ, seul vrai Dieu et vrai homme. La recherche de leur application, capable de fournir au monde une énergie douce et malléable, pratiquement illimitée, ne doit pas rester l'enjeu secret des puissances concurrentes mais appartenir au patrimoine universel.
Dans le domaine de la pensée philosophique, l'unité des métaphysiques devrait amener à un consensus général des esprits.
D'autre part il faut annoncer et mettre en garde que ces avancées de la science et de la philosophie bénéfiques en elles-mêmes, si elles sont poursuivies, par la suite, outre mesure peuvent conduire à des effets pervers et préjudiciables pour l'avenir spirituel et matériel du monde.
Aussi et surtout il faut permettre par notre insignifiance, sans cesse creusée, la conversion au cœur du Christ de tous ceux qui se peuvent toucher et laisser toucher.