Développement unitologique

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27/01/05a Pour répondre au développement nécessaire de l’article du 01/11/04 proposé au quotidien La Croix, j’effectuerai, suivant ce qu’il me sera donné petit à petit, l’exploitation de celui-ci à partir du journal du site www.f-v-m.net en le regroupant pour le rendre plus lisible dans un fichier de la philosophie sous le titre de: développement unitologique ...

19/03/05a.Il faut donc noter que le journal spirituel verra , suite au 01/11/04 s’ajouter (en a, b, ...) un développement des données philosophiques et que le site www.F-V-M.net reste toujours cet exposé D’UNE PART des nécessités scientifiques universelles de la foi catholique et D’AUTRE PART de celles plus importantes, parce que, entre autre, les premières en dépendant, de leurs applications spirituelles par les enfants-de-rien de toutes religions ......

TITRES: * Prédicat Messianique ,Christique , de perfection , épicentre , appliqué  , historique , de l'âme , électionquaternité , d'actualitéde l'églisehiérarchievocation , universel , conclusion , notification , exemple  , exemple2 , art oublié , questions mystiques , Bien intangible

( 28/01/05a .... )

*Article proposé au quotidien La Croix le 01/11/04:

Je ne suis qu’un témoin de l’Église. Je ne suis ni un philosophe professionnel, ni un savant, à peine un artiste pour avoir été éduqué à l’école Nle des Bx Arts de Paris et avoir réalisé quelques peintures contestées en leur temps. Mais qui voudrait d’un simple témoin de l’esprit à notre époque où l’on ne cherche que les VIP ou les stars et pourtant voici ce que je puis signifier:

Le support de la pensée humaine qui forme le fondement de toutes choses et devrait essayer de les unifier, semble résider dans la métaphysique, c’est à dire l’approche de leur réalité dénudée qu’on appelle la notion d’ “être”.

Jusqu’à présent ce support s’est trouvé profondément divisé en trois approches inconciliables entre elles.

D’une part il y a les esprits qui veulent commencer à initialiser l’approche de la notion d’être par l’extérieur des objets. Ce sont les “extravertis” tels que le philosophe grec Aristote sur lequel s’est appuyé St Thomas d’aquin, etc....

D’autre part il y a ceux qui initialisent cette approche par l’intérieur d’eux-mêmes, c’est à dire du sujet. Ce sont les “intravertis” ( et non pas “introverti” qui signifie regarder l’intérieur de soi-même et non la notion d’être qui en résulte) tels que Platon ou St Bonaventure, etc....

Enfin il y a ceux qui refusent de prendre leur parti d’initialiser la notion d’être et qui demeurent en une forme d’expectative. Ce sont les “circonvertis” tels que les sophistes grecs, un philosophe indien antique Nagarjunah, etc... Cette métaphysique instable, non représentée par la scolastique chrétienne du moyen âge dont l’occident a tiré surtout des philosophies anarchistes, a donné cependant en Asie, où les esprits paraissent plus fins, des données positives comme le Bouddhisme.

Mais les deux autres approches se sont trouvées en conflit dans l’histoire de l’Église jusque dans l’une des données de sa théologie, concernant les purs esprits (la guerre du sexe des anges), ce que ne pouvaient supporter les Pères du Concile de Trente (1545/63) dans un souci d’unité (spirituelle). L’Église a donc sacrifié délibérément la vision intravertie de Bonaventure pour imposer unilatéralement celle extravertie de Thomas d’Aquin. Cela pour des raisons du reste prosaïques: St Thomas enseignant plus clairement (Sorbonne malgré des réticences à son égard) que St Bonaventure qui enseignait par image surtout dans les monastères.

Ce choix apparemment dictatorial s’est trouvé efficace, en ce sens que les esprits intravertis dans l’Église n’ont pu s’exprimer qu’en essayant de triturer la pensée extravertie de St Thomas d’aquin, mais sans fonder d’école ( théologique) opposée (sur la nature des purs esprits). Ainsi l’unité intellectuelle (religieuse) a paru être sauvegardée.

Mais de nos jours, la science de même que la théologie ( Teilhard de Chardin) ont besoin de progresser jusqu’à la fusion** d’une métaphysique unitaire, au-delà des trois divisions énumérées. Ses bases rudimentaires ont été ébauchées dans le site www.f-v-m.net.
**16/04/05a Note: À propos de Teilhard de Chardin et de la référence que j’en fais, il faut noter "qu’il faut soigneusement distinguer le progrès terrestre - aussi spirituel qu’il paraisse - de la croissance du règne du Christ (Vatican II; Gaudium et spes p.39)"., et que ce sera là justement le travail éminent de l’église catholique dans un monde de christianisation universelle qui aura tendance à vouloir confondre les deux.

À propos de cet article du 01/11/04 proposé au journal La Croix, il est bien évident que le terme “initialiser la notion d’être” demanderait un développement d’explications considérable, puisque les esprits raisonnants sont divisés naturellement en trois catégories irréconciliables. Pour cela il faudrait pratiquement avoir à sa disposition (?) trois philosophes avertis de chacune de ces catégories capables de reprendre dans l’optique d’une métaphysique nouvelle fondée sur la foi et non plus sur la raison toute l’histoire de la philosophie, à leur point de vue (!).....

Peut-être aussi les rédacteurs de ce journal, qui ne m’ont pas encore répondus, ont-ils cru voir une réprobation des décisions d’un concile (en l’occurrence celui de Trente) et n’osent-ils pas, malgré, c’est vrai, un style médiocre, publier ce qui semblerait une critique de l’Église. En fait pour moi l’Église catholique est bien un sacrement comme il est dit du reste clairement dans le catéchisme pour adulte des évêques de France (paru en 1999). Aussi dans cet article il n’y a rien touchant à la sainteté de celle-ci. D’autre part je n’aurais jamais pu par moi-même mettre en évidence les conséquences de cette position qu’en aucun cas je juge, sans y avoir été poussé indépendamment de ma volonté. C’est ainsi que dans ce site www.f-v-m.net auquel j’ai été amené depuis octobre 2000, j’expose les prémonitions d’une “fusion inévitable” de la foi et de la science au sujet d’une application précise des sciences physique (que je ne suis pas le seul à imaginer). J’ajoute en même temps qu’elle doit coïncider avec la reconnaissance conditionnelle de la suprématie du Christ que Mgr. Aldo Gregori et d’autres appellent la “venue intermédiaire de Jésus” . Mais une métaphysique “unitaire” (malgré le ridicule de ce terme qui y est apporté sur internet) est nécessaire aussi bien à la science qu’à la foi et c’est donc le fondement de cet article, aussi insignifiant, comme son auteur, qu’il soit.

25/01/05 Interférer dans l’achèvement et surtout dans la restriction nécessaire du moteur à ion intégral ou intégrateur de Puissance, soulever la chape intellectuelle du Thomisme dans laquelle le concile de Trente a enfermé l’Église, pour lui permettre d’entrer de plein pied dans une nouvelle métaphysique unitaire ou unitologie nécessaire (Nicolas de Cue qui bénéficiait d’une intelligence didactique puissante, l’a essayé un peu mais a renoncé à l’imposer à son temps), de plus annoncer la venue précise du “Christ intermédiaire” dans une gloire humaine, sont toutes choses radicalement impossibles, incomprises, ou systématiquement refusées. Quant à mes peintures et à ma solution définitive du relief stéréoscopique du 21 Mai dernier, qu’en peut-il être? L’essentiel n’est pourtant pas là.

..... Cependant rassembler les enfants-de-rien de toutes religions relève tout autant de l’impossible... Mais pour donner Jésus au monde, ne serait-ce qu’un peu, il faut se donner soi-même à LUI, dans la voie qu’IL nous trace. Moi, c’est la voie des impossibilités indispensables....

26/01/05 Il est évident que le "dictionnaire critique théologique de J.Y.Lacoste" mentionne les différentes approches théologiques de la nature des anges, tout en gardant une priorité à St Thomas d'Aquin. Ce n’est du reste pas la simplification de la guerre du sexe des anges que j’en fais, qui attire mon attention mais le rapport de la métaphysique et de la théologie qu’elle implique et qui n’existe que là, puisque deux métaphysiques contradictoires comme celles de Bonaventure et Thomas d’aquin donnent en dehors de ce point précis une théologie identique. Or ce rapport va s’imposer dans la métaphysique unitaire ou unitologie qui créera l’unité de pensée nécessaire aussi bien à la science qu’à la théologie. Sans cette nouvelle métaphysique, la science ne peut accéder au moteur à ion intégral, ni la foi à la parfaite unité inter-religieuse. Cependant il y a une condition drastique pour que l’équilibre humain soit trouvé et dure au moins quelque millénaire. Aussi étrange que cela puisse paraître à certains, c’est l’Église catholique qui en a la clef pour que les autres religions et la science puissent suivre....

27/01/05b Il faut d’abord bien comprendre que l’esprit humain a besoin de limitations et que même dans le phénomène unitologique d’une métaphysique unitaire qui va au-delà de la raison, il sera nécessaire d’y mettre cependant la limite de la “raison morale” enseignée par l’église catholique, faute de quoi l’espèce humaine ne pourra survivre.... C’est pourquoi, malgré la mutilation intellectuelle apparente qu’a provoquée le choix par le Concile de Trente d’imposer à l’Église le seul mode de pensée extravertie (Thomiste) à l’exception de toute autre, on ne peut que le louer d’avoir compris la nécessité prioritaire de l’unité spirituelle et la vanité de toute autre espèce de discussions. C’est vrai que la pensée intravertie s’est trouvée de fait mal à l’aise ou même parfois complètement étouffée dans l’institution, mais l’enjeu était d’une toute autre envergure. D’autre part la pensée intravertie peut plus facilement se consoler dans la spiritualité que celle extravertie, étant d’origine plus intérieure. .... En analysant les fondements de chacune de ces options qu’on peut presque ramener à des races de cerveaux tellement elles paraissent indépendantes de notre volonté, on en comprendra mieux le pourquoi.

Enfin j’ai dit que la pensée circonvertie n’était pas représentée dans l’église. En fait ce n’est pas forcément exact. Il semble me souvenir d’avoir entrevu dans l’histoire de la philosophie, un dominicain qui s’y serait exercé mais évidemment vite condamné par les autorité de son ordre? C’est du reste une origine de pensée sur la notion d’être difficile à cerner pour un occidental et aucun penseur des sophistes grecs n’a su réellement s’imposer. Seul un métaphysicien oriental, comme nagarjunah, porté par le bouddhisme, a pu réellement la développer.

... Cela du reste n’a pas beaucoup d’importance dans ce qui nous intéresse, car ce n’est pas à une analyse exhaustive que nous sommes invités mais simplement au rappel de l’opposition irréductible entre elles de ces trois véritables factions. Faut-il pour cela faire une revue de toute l’histoire de la philosophie et de la métaphysique? Les discordances sont en effet si patentes et les philosophes si avides de triompher de leurs prédécesseurs que celles-ci ont été disséquées finement et totalement de toutes manières, jusqu’à jeter le discrédit de l’impossibilité sur tout ce qui est métaphysique ...

Je veux simplement rappeler l’opposition primaire des deux types extraverti et intraverti qui ont touchés l’église dans la philosophie encore primitive de la scolastique, non pas pour remettre en cause le thomisme officiel, ce qui n’a plus aucun intérêt, mais pour évoquer l’abîme infranchissable qui les sépare tout autant qu’avec la circonversion. On comprendra peut-être mieux alors la nécessité de s’élever au-delà des termes de la raison, non pas dans le fidéisme, mais dans une nouvelle unité Christologique de la métaphysique qui comme je ne cesse de le dire est aussi nécessaire au progrès de la science que de la religion.

28/01/05a .... Tout, hormis le péché qui est séparation du Tout, dans la Gloire éternelle de l’empirée comme dans l’humiliation temporelle de l’univers, est en effet DIEU, ce que nous enseigne la lecture attentive des évangiles. Comment positionner alors la créature dans ce qui nous intéresse de l’unité de la pensée humaine alliant la conquête scientifique de l’univers et la conquête religieuse du ciel?

Puisque nous sommes effectivement des dieux d’après la Bible, comme le confirme le Christ LUI-MÊME, il est évident que cela doit s’entendre hors du péché! Cependant SON apôtre affirme que nous sommes en quelque sorte “le péché”. Il y a donc dans la créature quelque chose qui ne serait pas DIEU?.. autrement dit: l’horreur absolue. Si, pour les nécessités premières, nous rattachons DIEU à l’Être, nous voyons que l’opposé innommable porte la non-signification de néant. L’Église nous enseigne alors que le Christ, reconnu DIEU, s’est fait péché pour nous, c’est à dire néant..

... Ainsi on voit que d’après la révélation chrétienne, sur laquelle nous devons reposer puisque l’unité de pensée que nous cherchons, se manifeste contradictoire en elle-même et que dans ce cas, seule la parole d’un homme-DIEU peut nous satisfaire dans la foi que nous LUI portons. Nous pouvons alors considérer DIEU- l’Inconnaissable comme Principe de Contradiction Suprême, en ajoutant ce que Jésus-Christ ne cesse d’enseigner: Principe de Contradiction dans la marche vers la vie éternelle ou salut des âmes, donc dans la réalité Principe de Contradiction Moral. En effet ce n’est pas le péché-néant qui est en cause pour l’homme, étant “le péché-néant” par nature, mais sa libre attache à ce péché manifestée par la désobéissance à la loi morale, comme vol, adultère, etc...

.... C’est pourquoi dans l’unité de pensée contradictoire hors de raison qui chapeautera tous les différents types de pensées humaines quels qu’ils soient, nous ne pouvons cependant pas faire l’économie de la raison morale fondée sur la parole d’un homme-DIEU, sans aucune attache au néant, bien que l’assumant LUI-MÊME au même titre que l’Être, parfaite incarnation du Principe de Contradiction Moral.

Bien sûr , un exposé aussi sec, du fait de l’implication humaine totale dans ce domaine, restera peu convaincante, mais ce que nous cherchons à faire émerger ce sont les données aussi explicites que possible d’une métaphysique unitaire déterminante aussi bien pour le scientifique que pour le religieux.

Entre autre, la vision qu’on peut avoir du déterminisme progressif de la recherche scientifique correspond à cette humiliation temporelle de DIEU, révélée par toute la vie du Christ. Il nous y fait comprendre que non seulement SON Père-L’Inconnaissable est Amour mais que dans la douceur de SON humiliation infinie, IL est prêt à livrer à la liberté de l’homme SES secrets de l’Univers, sans cacher du reste qu’il y aura en fin de course un juste jugement pour tous...

Pour le temps qui nous concerne, il s’agit de permettre , dans les conditions indispensables, l’élaboration du moteur à ion intégral dont j’ai donné une vague esquisse et dont d’autres aussi ont des approches et de permettre en même temps l’unité inter-religieuse dont dépend également l’oecuménisme chrétien. En fonction de l’état d’esprit peu évolué de ce siècle, c’est évidemment une gageure !...

28/01/05b Nous venons de postuler que TOUT, hormis la séparation au TOUT, nommée le péché, est DIEU. Or dans l’univers temporel, lieu de l’humiliation Divine que nous révèle l’incarnation et la vie de Jésus-Christ, nous avons vu que même la négation du Tout, le rien en somme, l’Être comme le néant, s’est fait DIEU . Ainsi on peut dire que même le péché est DIEU, la Bible et les évangiles attestant que l’attache que nous faisons au péché cependant ne l’est pas. Nous avons donc bien à postuler un Principe de Contradiction Moral dans lequel la liberté de la créature se révèle. Sans l’union de la morale, notre Principe de Contradiction dans les faits ne serait pas recevable, le bien étant le mal et inversement ... C’est pourquoi nous devons dire que DIEU-l’Incommensurable est bien Principe de Contradiction Moral c’est à dire, immuable et toujours en mouvement, Être et néant, Tout et rien, ... mais toujours dans le sens du Bien, la créature étant invitée, elle, à L’aider à s’arracher à l’attache au mal dans laquelle elle est située. Une telle option, réversible en soi, et, hors de toute norme, ne peut s’établir que sur la foi, c’est à dire la confiance totale, en un seul homme... Ne nous trompons donc pas!

28/01/05c Il faut maintenant revenir à cette catégorie de trois pensées opposées dans lesquelles la métaphysique est enfermée. Pour démarrer la notion abstraite de chaque chose qu’on va appeler l’être, il y a en effet trois approches antagonistes.

La première, qui apparaîtra aux autres comme primitive, tel que dire, c’est le soleil qui tourne autour de la terre puisqu’il se lève d’un côté pour se coucher de l’autre, consiste à commencer l’abstraction de cette notion en l’objet extérieur au penseur. C’est la notion d’être extravertie.

La seconde ne peut se résoudre qu’à initier cette notion à partir du penseur lui-même, c’est à dire du sujet antérieur à tout. Elle paraîtra complètement obsolète aux autres conceptions qui la considéreront comme un parti-pris. Il s’agit de la notion d’être intravertie.

La troisième enfin ne pourra s’arrêter à amorcer sa pensée à aucune notion tangible et restera enfermée dans un vide qui virevoltera de l’objet au sujet et inversement. Elle paraîtra complètement irrecevable aux deux autres. C’est la notion d’être circonvertie.

De là découle le raffinement particulier de toute philosophie. Les réactions de chacune de ces trois races de penseurs ne seront pas forcément aussi aigues vis à vis des autres, mais ils s’efforceront par des arguments qui sont devenus de plus en plus fins à travers les âges, d’établir une métaphysique qui s’imposera aux penseurs plus faibles et interférera aussi bien dans les esprits que dans les moeurs.

Finalement je me rends bien compte qu’il s’agit d’une simplification trop extrême et que pour établir fermement cette thèse, il faudrait en montrer le bien-fondé chez tous les métaphysiciens de l’histoire. De même qu’il faudrait étayer les arguments du choix moral de cette nouvelle métaphysique unifiante, sans compter ce qui la rattache aux sciences physiques et mathématiques. Mon incapacité est telle que je ne risque rien à n’en pas douter de la possibilité! Mais est-ce, pour le temps qui me reste à vivre, mon rôle? De toute façon mon journal s’inscrit dans une certaine ligne à ne pas s’écarter et c’est lui qui en sera le support...

29/01/05a En ce qui concerne la démarche scientifique, je répugne à m’y engager peut-être évidemment parce que je n’ai aucune formation dans ce domaine et que l’embrouillaminis précis de la technique me dépasse complètement mais surtout parce qu’il s’agirait pour moi d’imposer à celle-ci une direction primordiale entièrement nouvelle pour elle; je veux dire: la morale...

En effet elle a le terrifiant pouvoir de mutiler ou inverser le Principe de Contradiction Moral que j’énonce. Et si après Hiroshima certains savants ont pu paraître troublés un instant, sans pour autant renoncer au progrès de la bombe atomique encore pire, il ne s’agit là que d’une vulgaire plaisanterie à côté de ce qui attend la poursuite de la recherche du moteur à ion intégral, pourtant si bénéfique dans sa première version. SANS INTÉGRER LA MORALE DANS LE PRINCIPE DE CONTRADICTION applicable à la science, bien qu’on puisse penser que je perde la raison, j’affirme solennellement que l’on va tout droit à l’inutilité de l’existence de l’univers donc à son implosion, en détruisant la réalité Divine de sa cohésion. Dans toute mon impuissance à ce sujet, c’est vraiment le tableau de l’Apocalypse que j’ai peint en 1965 qui le représente le mieux, tout en laissant dégager une lueur d’espérance que je ne cesse d’annoncer, même jusqu’aux retrouvailles de la foi d’Israël avec Jésus-Christ. Mais c’est la foi catholique en la sollicitude de DIEU pour le nombre et le salut éternel de SES élus, à travers le foisonnement si souvent tragique de la vie terrestre, qui me soutient......

31/01/05a DIEU donc Principe de Contradiction Moral est à la fois TOUT et rien, ÊTRE et néant, Immuable et en mouvement, etc... mais dans une direction que la Bible accomplie par les évangiles révèle à la perfection. En effet voir en LUI un cycle en perpétuel recommencement ou un Incommensurable sans personnalité n’est qu’une approche partielle. La conduite réelle Divine vis à vis de SA créature qui est LUI-MÊME dans une humiliation morale infinie, le Tout se faisant rien, l’Être néant, etc ... ne peut laisser à cette créature que le libre choix du Principe Contradictoire Moral qui est LE SIEN. C’est pourquoi l’homme est affronté dans le temps et la quantativité contradictoire de l’univers à s’accepter DIEU tel qu’IL est dans la souffrance transitoire (sauf s’il s’y refusait) du néant à l’Être....

Cette souffrance ne peut être nue et absolue que dans la Personnalité Divine, ELLE-MÊME, avec la participation partielle de la créature suivant l’échelle morale de sa valeur. En un mot, comme dans la mystique les contraires (joie et douleur) sont présents, en même temps bien que sans mélange, dans un même sujet, ainsi le Christ-DIEU personnalisé il y a deux mille ans, Être dans le néant, n’a été que souffrance en attente de la joie prémonitoire donnée, à travers les âges, par la participation de SES créatures libres...

Ce développement qui associe la révélation des évangiles à la métaphysique ne doit pas surprendre et doit être pris en compte aussi bien pour l’évolution de la connaissance scientifique des ions que pour une plus grande ouverture de la religion chrétienne et autre.. Il ne s’agit pas là de figure mais d’un réalité entière de la condition humaine morale où tout est lié dans la foi.

Il n’est pas facile de tenter d’expliquer les fondements de cette métaphysique, hors du contexte, extraverti, intraverti ou circonverti, me sachant moi-même plutôt intraverti et il est possible que sans aide extérieure, je puisse souvent me tromper et avoir souvent à me reprendre.

D’autre part il faut bien comprendre que l’intelligence intuitive, qui, elle, est contemplative, n’a pas besoin de beaucoup de documents et est apparemment inutile, se trouve séparée par un abîme sans fond de l’intelligence didactique qui, elle, active et chargée de l’étude sans fin de documents, coiffe le monde de son apparente puissance. Certains esprits didactiques, théologiques, ont jusqu’ici engagé l’Église dans cette passerelle mais pas très loin. À mon sens, seul un esprit pratiquement intuitif, sans attache à l’intelligence didactique, pourrait le faire jusqu’au bout. Si ce n’était mon âge, je dirai que je pourrai faire l’affaire. Mais de toute façon il faut prier intensément pour cet "âne" à venir. L’enjeu pour l’Église n’est rien moins que la délivrance de l’humanité complaisamment enchaînée .....

01/02/05a ... On peut dire en effet que toute métaphysique de l’analogie est une métaphysique de la dérivation et donc de la participation. La scolastique pour avoir refusé l’analogie des notions d’être jusqu’au bout c’est à dire en fait jusqu’à l’inclusion du Divin s’est vu sévèrement critiquée par la suite. Mais d’une part on ne l’a pas plus accepté ultérieurement et pas seulement dans l’Église, pas plus que dans ce désir d’unité qui tourmente l’humanité on n’a accepté plusieurs approches antinomiques de la notion d’être. Si l’on consent à considérer la motion Divine dans sa contradiction morale révélée, on peut arriver même en mathématique et physique qu’entre le signifié et le signifiant, il n’y ait plus aucun point commun autre que possible-impossible. La foi seule, jusque dans son application aux ions, assurera la validité du signifié, en suspens-non en suspens du signifiant.

L’approche tout à fait primaire que je fais de la notion d’être (de participation) reste essentielle dans sa pauvreté, due évidemment à mon intuitivité. Car si de très nombreuses et pertinentes études, de tout bord, ont été faites de nos jours sur ce sujet, elles se perdent dans les limites de l’intelligence didactique qui ne sauraient toucher le fond, comme un voyageur perdu dans le sable du désert. Et ceci simplement pour éviter l’humble problème personnel intuitif de la foi chrétienne dans sa perfection morale catholique .....

02/02/05a ... Ainsi donc l’homme est HUMILIATION DE DIEU et Dieu LUI-MÊME dans cette participation. Mais plus que l’incapacité de l’ignorance, de la limite d’expression de l’intuitivité ou de l’inclinaison à une catégorie de pensée ontologique, il y a, comme en toute créature humaine, cette horreur de l’horreur qu’est la révolte orgueilleuse innée contre DIEU. Dans la Bible et son accomplissement des évangiles, elle est dénoncée à toutes les pages. Et aucun prophète, fut-il l’humble des humbles Moïse, pour avoir frappé une deuxième fois le rocher de Mériba, n’en a été exempt. C’est dans le Messie seul, tel que l’Église catholique l’enseigne, que nous la croyons vaincue par un homme. C’est donc à LUI qu’il faut avoir recours, non seulement à l’application spirituelle des âmes mais aussi, comme avec Israël je le crois, à la vie matérielle scientifique des vivants. Toutefois nous ne saurions le faire de nous-même, sans danger, tellement nous sommes viciés par l’orgueil de nature, sous toutes ses formes. Il nous faut faire appel à un intermédiaire de notre cause. Il n’y en a de disponible que ceux qui ne seraient pas seulement des justes en partie, mais déjà de parfaits justifiés par le Messie! C’est ce que nous croyons de ceux qui ont la foi dans le juif Jésus-Christ, non pas seulement DIEU participation à DIEU comme nous tous mais DIEU intégralement DIEU. C’est évidemment SA Mère, exceptée dès sa conception de la trame d’orgueil congénitale et ayant conçu SON Fils par parthénogénèse spirituelle ou naturelle qui en est le chef de file. Ne nous étonnons donc pas de la place que nous lui donnons et qui est nécessaire. C’est pourquoi l’Église des justifiés, et non plus des justes, à sa suite est livrée sans défense au monde, ne pouvant, si elle ne veut pas être renégate, s’enorgueillir que de sa bassesse. Pourtant, par ce fait même, elle est appelée à sauver, dans tous les domaines, ceux-là qui la méprisent. Je réaffirme bien, dans tous les domaines. Si, jusqu’ici, on n’y a lu que son intervention spirituelle ou sociale, il s’agit maintenant d’ajouter celle scientifique. Cette dernière ce pendant ne peut se faire qu’avec le soutien de tous les esprits humains autant qu’angéliques. Ainsi par leur communion, le moindre sacrifice d’humilité et de foi dans le monde par la dernière des créatures, déterminera la démarche droite des plus grands savants et l’avenir de l’humanité....

02/02/05b Que va impliquer comme développement le Principe de Contradiction Moral, unifiant la métaphysique et avec elle la théologie et la science?

D’abord elle implique que la philosophie prouve bien la tripartite de la notion (forcément participative) d’être et de son irréductibilité constitutive. Deuxièmement elle implique que la théologie mette bien à jour la quaternité de DIEU, c’est à dire la fusion respectant les personnes de SA Trinité révélée; avec SA créature, image de LUI-MÊME. Troisièmement que la science mette en rapport constant le phénomène des ions ou autre particule avec la décomposition de la lumière, en respectant l’intégrité du Principe de Vie. Trois choses dont j’ignore, bien qu’en ayant une certaine intuition, jusqu’au premier mot explicatif.

Pourtant devant ce gouffre d’ignorance, je m’y sens porté par la nécessité évidente de voir asseoir la primauté terrestre du Christ pour le temps qu’IL voudra, SON royaume demeurant bien pourtant ailleurs qu’ici-bas. Pour que cette primauté dure, il n’y a rien d’évident. Je me demande du reste, s’il y a un seul internaute (puisque je n’ai pas d’autre moyen de communiquer en dehors du petit livret imprimé très succinct de "Témoignage Mystique..."que personne ne sait diffuser!) capable de comprendre ce que je dis. Mais à l’inconnu qui me fait à chaque mot dire que j’arrête, j’ajoute

DIEU à DIEU se suffit, dans SA Miséricorde infinie vis à vis de LUI-MÊME... Communions...

03/02/05 Le livret de "Témoignage Mystique ...." que je dis très succinct, est cependant l’essentiel et la base même de la bataille sévère qui s’annonce entre la minorité actuelle que je représente , qui doit la gagner victorieusement pour la survie du monde, et les autres. Cela quand bien même il me serait donné (?) de publier des livres plus conséquents et beaucoup plus complets....

03/02/05a En parcourant de nouveau l’histoire des philosophies, il semble s’avérer que la priorité, plutôt que de définir l’origine de la trilogie ontologique dans Parménide, Platon, Aristote ou ceux qui leurs ont succédés jusqu’à Kant, puisqu’il semble convenu que c’est à partir de lui que la question de références ontologiques seraient posées, demeure toute autre. En effet pourquoi aucun philosophe, à travers les âges, avant ou après Kant du reste, n’a reconnu de fait cette trilogie de la notion d’être, en essayant de finasser habilement par toutes sortes de moyens?...

Chacun dans son orgueil inné ne prétend-t-il pas s’ériger en réunificateur, sous entendu du genre humain dans sa pensée? Le Christ, annoncé prophétiquement, l’a fait, avec les réserves qu’IL a indiqué, non pas de LUI-MÊME, mais envoyé par le Père Trinitaire en l’union de l’Esprit Saint. Toutefois, il ne suffit pas de le reconnaître, comme Kirkegaard a cherché à le faire de soi-même, mais comme l’Église catholique a mission de l’enseigner. Et bien qu’il faille savoir innover, au-delà des tabous, ce doit être toujours en relation avec elle et l’autorité du Pape, régulièrement élu, qui la fédère, qui en confirmera la vérité dans les temps voulus. Car, nous l’avons vu, c’est ce vice d’orgueil congénital qui aveugle les plus grands penseurs comme Hegel ou d’autres, tout autant que n’importe quel individu. DIEU seul est humble dans SA plénitude sur terre, l’incarnation de Jésus-Christ, tel que l’enseigne SON Église et nulle autre. C’est pourquoi même les créatures honorées par cette Église, en dehors de la Vierge Marie par grâce unique, sont toujours par un côté claudicantes. Non pas qu’elles ne soient pas DIEU mais elles le sont sur terre dans l’humiliation contradictoire de SA hiérarchie créée.

Il est évident que la froide et obscure chape rationnelle de l’histoire temporelle ne peut que valoriser en chacun la réponse libre de la foi dans son humble espérance d’Être éternel.. Mais les succès scientifiques de la raison en forment une épreuve redoutable. Espérons que, pour un temps le plus long possible, elle soit levée....

04/02/05a Le subtil orgueil démoniaque du penseur ne consiste pas à sentir la nécessité de l’unité de l’esprit humain, à laquelle il se sent porté à collaborer, mais c’est en y répondant à son propre profit et cela, même d’un manière imperceptible. Ainsi le philosophe bien que tributaire naturellement d’une des trois contingences ontologiques, aussi critique soit-il vis à vis de lui-même, voudra que sa pensée porte à croire à sa propre personne et comme Socrate la défendra même en mourant. Il faudrait donc que le penseur s’extrapole de soi-même et bien sûr tous ou presque y ont pensés, sans pourtant pouvoir entrer dans le jeu moral que seul permet la foi à la révélation de l’humilité et la douceur infinies (fondement de tout amour) du Christ Catholique...

C’est pour n’avoir pas pu aller, le temps n’étant pas encore venu, jusqu’au bout de cette démarche, que même les penseurs catholiques ont été amenés à accepter de fragmenter leur pensée....

Il faut bien entendu reconnaître que dans le domaine de la pensée vulgarisée, l’Église catholique peut paraître encore figée. Il faut toujours faire attention à sa vocation unique qui est d’annoncer le visage du Christ dans SA perfection qui n’a rien à voir avec ce que le monde appelle de ce nom et qu’en plus elle forme tout un peuple en marche qui n’est pas l’apanage des seuls penseurs, avec tous les handicaps possibles. Il n’y a jamais donc lieu de la critiquer car nous ne savons jamais le degré de connaissance du visage humain et infini du Christ qui lui est possible de nous dispenser....

Quant à moi, je sais parfaitement que seul environ 10% des esprits religieux sont prêts à m’écouter, que 80% tergiverseront et que les 10% restants me seront violemment opposés. Cela ne me déroute pas, si tant est que ma pensée puisse jamais être rendue véritablement publique...

Si les grands penseurs ont une connaissance parfois très aigue du sens moral pourquoi ne peuvent-ils rien sans la foi en l’Église catholique, apostolique et de plus, par les aléas de l’histoire, romaine? Il faut analyser les propositions de cette dernière, malgré qu’elle soit controversée dans bien des domaines et qu’elle ait fait preuve de partialité erronée notamment en science que je prétends qu’il faut inclure dans la pensée d’une métaphysique unitaire au même titre que sa théologie.

06/02/05a ... Quand même, nous rendrions-nous compte que nous sommes insignifiants matériellement ou spirituellement, il reste encore en nous un abîme infini de présomption orgueilleuse inconnue qui obstrue notre pensée et l’empêche d’arriver à son achèvement. C’est seulement autant en renonçant à nous-mêmes et en ne rejetant pas les souffrances de la vie qui nous sont proposées qu’en suivant le Christ jusqu’à SA pure déréliction que nous renaîtrons ici-bas à une vie nouvelle capable de métaphysique unitaire.

...Renoncer à soi-même, beaucoup de philosophes l’ont fait et enseigné... Porter jusqu’à vouloir les souffrances qui nous sont proposées, ils sont déjà moins nombreux à l’avoir accepté... Quant à vouloir suivre le Christ jusqu’à SA pure Livraison, rares sont ceux qu’on peut y compter et qui correspondent tous à l’enseignement catholique. Le néant s’offre à l’Être qui le prend en LUI...

06/02/05a ... Quand même, nous rendrions-nous compte que nous sommes insignifiants matériellement ou spirituellement, il reste encore en nous un abîme infini de présomption orgueilleuse inconnue qui obstrue notre pensée et l’empêche d’arriver à son achèvement. C’est seulement autant en renonçant à nous-mêmes et en ne rejetant pas les souffrances de la vie qui nous sont proposées qu’en suivant le Christ jusqu’à SA pure déréliction que nous renaîtrons ici-bas à une vie nouvelle capable de métaphysique unitaire.

...Renoncer à soi-même, beaucoup de philosophes l’ont fait et enseigné... Porter jusqu’à vouloir les souffrances qui nous sont proposées, ils sont déjà moins nombreux à l’avoir accepté... Quant à vouloir suivre le Christ jusqu’à SA pure Livraison, rares sont ceux qu’on peut y compter et qui correspondent tous à l’enseignement catholique. Le néant s’offre à l’Être qui le prend en LUI...

07/02/05 Ce n’est pas à proprement la mort qui fait scandale, puisque tous sans aucune exception en confirme la nécessité, les savants avec l’entropie et les religieux avec l’apocalypse, mais ses modalités tout autant que l’espérance de la vie éternelle ....

07/02/05a ... De tout ce qui a été dit jusqu’ici, nous postulons donc que la vérité ne peut être une entité intellectuelle telle que les philosophes et notamment les métaphysiciens l’ont cherchée jusqu’à présent mais qu’elle est un homme et un seul, le juif Jésus-Christ, vrai DIEU unique dans SA perfection Trinitaire et vrai homme. Il ne faut pas cacher qu’il y a danger à vouloir en appliquer l’analyse intellectuelle, en Principe de Contradiction Moral, car la Vérité s’est exprimée sans équivoque en nous disant de rechercher les réalités d’en-haut de la vie éternelle jusque dans leur application à celles temporelles données par surcroît. La pensée humaine arrive cependant au bout de son rouleau et il faut donc lui espérer un échappatoire, un temps de rémission. Nous entrons dans le temps de pré-apocalypse. À l’humanité, aidée par la grâce de DIEU, de savoir le faire durer. À l’Église catholique apostolique et romaine revient de lui présenter, sans équivoque, le salut et de l’y aider.. Cela n’ira forcément pas sans récrimination, ni heurt, car le monde sera toujours ce qu’il est. Mais l’éternelle dialectique entre l’ici-bas et l’au-delà va se trouver tranchée et le monde va faire dans tous les domaines un bon gigantesque, quitte plus tard à se trouver affronté à la nudité final de son choix. Jésus-Christ dans SA personne entière est non seulement la vérité, Il est encore le vivant, le rationalisme devant s’incliner librement devant LUI . C’est pourquoi un individu, si peu reluisant sur le plan rationnel que moi, ne s’émeut pas de ses incapacités, souhaitant qu’Israël comprenne que le Christ est bien l’accomplissement du Talmud. Car ceux qui rejettent l’intuition des mystiques pour ne pas remettre en cause leur conscience, ne peuvent aller au fond véritable des choses. Et dans le siècle qui s’ouvre la science comme la théologie doit arriver à cette fin. Toute notre étude doit donc se concentrer, selon ce qui est donné à chacun, dans l’a et l’w incarné en ce monde il y a 2000 ans. Attention, non pas seulement de nous-même mais porter au Messie par l’esprit et les sacrifices de tous les enfants-de-rien de toutes religions, dont il est donné aux catholiques d’en exprimer l’essence, et que nous avons à leurs retourner.

Dans l’énoncé philosophique du Principe de Contradiction Moral, l’éthique fait autant partie de l’ontologie que de la Divinité non exprimable autrement. Seule la raison est mise à mal puisque remplacée par la foi et remise à sa vraie place. Il ne s’agit pas pour autant d’utopie, puisqu’on prétendra qu’il peut être appliqué à une réalisation précise et durable, si l’homme le veut, des sciences physiques.

L’Église enseigne l’Amour de DIEU et des autres, mais le fondement de l’amour demeure bien , énoncé par le Christ LUI-MÊME, l’humiliation et la douceur de DIEU à laquelle la foi, sentie ou non sentie, amène. Le déroulement de l’histoire à laquelle l’être humain doit faire face, individuellement ou socialement, ne doit être considéré que comme la réalisation de DIEU dans ce qu’il convient d’appeler SES créatures, libres néant qui est LUI-MÊME, non libérés autrement que par la foi en SON Fils Jésus.

Analyser les propositions de l’Église revient non pas à présenter celles-ci sur le plan particulier du social ou du doctrinal qui peut facilement s’exposer, malgré toute opposition, mais sur le plan intuitif et mystique dans lequel toutes les religions peuvent reconnaître leur achèvement. Ces propositions ne visent qu’à assurer la foi intégrale dans un seul sauveur, le Christ Jésus...

08/02/05a C’est le plan d’intuition mystique qui n’a besoin que de très peu de documents et de citations de références mais qui contemple les fondations de toutes choses, qu’on m’a ouvert et que j’ai finalement recherché dans l’expression de l’art classique jusqu’au jour de 1964 (ou 63?) où il m’a été imposé ailleurs. Aussi bien sûr il ne faut pas s’étonner que connaissant ce chemin je le choisisse de préférence à un autre malgré qu’on sache très bien qu’il touche peu de gens intelligiblement et en irrite d’autant. Mais il m’a été donné de voir cet étroit et dangereux pont suspendu qui le relie aux autres plans et celui assez terrifiant, quelque nom qu’on lui donne, de la recherche scientifique dont l’humanité est prisonnière. L’Église catholique , renforcée par les démarches des enfants-de-rien de toutes religions, pleinement porteuse de l’unique message mystique salvateur (cf.06/02/05a), ne saurait refuser de s’y engager... La pensée humaine à bout de course, jusqu’à l’application des sciences physiques et mathématiques, devra accepter, en elle, l’irruption de l’intuition mystique dans laquelle il faudra ne pas se tromper d’initiateur pour le salut du monde...

09/02/05a .... Je vois bien que pour clarifier, avec la grâce de DIEU sans laquelle rien ne peut se faire, ce que j’entends par métaphysique unitaire, Principe de Contradiction Moral, il me faudrait préciser bien des choses aux quelles les philosophes ont donné , depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, des sens variés ou même opposés. D’une part il me faudrait faire l’histoire de la trilogie de la notion d’être malgré les dénégations ou les dérivations qu’on en a pu faire. Deuxièmement il me faudrait à cette lueur faire accepter non seulement des rapports étroits entre métaphysique et théologie catholique, comme en scolastique ou ce qui a pu suivre, mais une véritable fusion fondée sur la personne vivante de l’homme-DIEU Jésus-Christ, amenant à la réalisation de l’intégrateur de Puissance par les sciences physiques, mais avec le terrible risque d’inversion.

D’une part mon incapacité me rassure et me dégagerait de toute responsabilité, si d’autre part je n’avais au fond de moi-même cette pierre de touche de l’horreur de la faute originelle dont les philosophes qui l’ont reconnue n’ont pas mesuré l’ampleur. Ceci renforcerait en moi la résolution de continuer sans détour ce que j’ai fait jusqu’à présent. Mais faut-il se taire ou parler? Fuir ou rester?... Présenter à l’être humain qu’il est DIEU, Principe de Contradiction Moral, centre et circonférence éthiques de l’univers, il n’y a qu’un homme révélé qui ait osé le faire parfaitement en SA personne, dans SON humiliation et douceur Divine, Jésus-Christ. Mais cette douce humilité , exprimée en amour pur, marche dans le sens Divin, le monde voudra-t-il l’accepter? Ou choisira-t-il une créature humaine, pleine de savant, subtil ou naïf orgueil? Voilà pour moi le dilemme et pourquoi il n’y a pas lieu de prendre par dessus la jambe la notion de péché originel comme la réalité de l’enfer. Celle qui nous sauve, dans ses humbles et violentes souffrances et sait nous unir indéfectiblement au Christ, est la juive Marie, conçue sans le péché originel, vierge dans la conception de SON Fils et fidèle jusqu’au bout ...

10/02/05a ... Ainsi donc le choix, à mesure qu’on avance dans les âges, devient drastique; avec ou contre Jésus-Christ enseigné par l’Église des apôtres sous la direction infaillible du Pape, régulièrement élu. D’aucuns veulent lui donner un visage contraire ou l’infléchir à leur goût. Mais tout doit être référencé à cette dernière. Car tous les hommes sont si profondément viciés, même et peut-être surtout les plus savants, qu’il nous faut une promesse formelle du Christ de ne pas nous laisser dans l’erreur à SON sujet. Cette promesse, à laquelle nous croyons, se concrétise dans l’Église catholique, apostolique et romaine. Bien des erreurs apparentes semblent la desservir. Ce n’est jamais sur le plan de ces erreurs qu’il faut se placer sinon pour admirer la continuité de son long et hésitant mais clair cheminement. En effet ce qu’elle a à enseigner pour le salut de l’humanité, c’est la révélation d’un DIEU-homme de contradiction, humble et doux, à la fois infiniment Saint, Puissant comme Indépendant ET cependant infiniment faible et respectueux de l’entité humaine viciée. Comme toute société elle a bien sûr à compter avec une organisation religieuse, mais sachant ce qu’elle est ses fidèles ne peuvent que vouloir la sanctifier en se sanctifiant eux-mêmes.

Dans l’article à La Croix du 01/11/04, non publié, je semble pourtant ne pas hésiter à critiquer la position de l’un de ses conciles. En réalité je me félicite de l’apaisement intellectuel qu’il a provoqué pendant 500 ans. Je veux simplement indiquer qu’une autre optique radicale devient, sur ce plan, nécessaire......

10/02/05b .... Quand on parle d’une autre optique radicale nécessaire à propos de la décision du Concile de Trente, ne nous trompons pas. Il ne s’agit absolument d’aucun changement dans la théologie de St. Thomas d’Aquin qui est la même que celle de St. Bonaventure en dehors de l’unification à faire de la nature des purs esprits, se présentant tout à fait contraire dans le cas de partenaires de métaphysiques opposées. Cette unification théologique paraît en réalité peu de choses (guerre du sexe des anges) mais elle cache la révision de toute la philosophie depuis ses débuts et la nécessité de l’unité nouvelle de la métaphysique fusionnant avec la théologie comme avec les sciences et leur application pratique. Dire que tous les philosophes s’y sont essayés sans succès, c’est ignorer le moment de la fin des temps que nous vivons et les conséquences pratiques qui lui sont indispensables pour une rémission qu’il faut espérer longue.

En lisant les contorsions, pas forcément toujours négatives, de l’histoire de la philosophie, il apparaît qu’il ne me convient pas de m’immiscer, faute de moyens peut-être mais aussi délibérément , dans ce travail. Je regarde alors la notion de vérité employée jusqu’ici par la métaphysique et celle du maître à laquelle je me soumets: "JE suis la voie, la Vérité et la vie" dit l’homme-DIEU Jésus et je la pose comme condition préalable à toute métaphysique unitaire. Avec LUI, DIEU, éternel et temporel, fait Principe de Contradiction Moral, prend sur LUI-MÊME l’humiliation (fondement de toute souffrance) et la douceur (opposée à la violence) en demandant à ceux qui veulent de LUI de l’imiter. Ainsi pour unir toutes pensées divergentes, on ne peut rester neutre comme l’ont cherché jusqu’ici les penseurs, même chrétiens, d’une manière ou d’une autre.

11/02/05a ... Ainsi donc la Vérité semble déliée de la raison par les contradictions des philosophes eux-mêmes. Après la critique de la raison "dite pure", on ne peut qu’appliquer aux penseurs post-kantien des dérivations variées sur l’histoire, le temps, le langage, l’inconscient, etc... qu’un technicien averti saura démontrer mieux que moi. Tous enfin ont tourné autour du centre Divinisé qu’est l’homme sans savoir comment représenter à la fois son immanence et sa transcendance. En quittant délibérément la raison régente pour la foi vivante, on entre dans un processus où les philosophes n’ont essayé (Levinas) que timidement frapper et que seule la foi aux évangiles nous ouvrent. Bien sûr des questions se posent! De reine la raison devient esclave! Quel est donc l’instrument prioritaire de la pensée qui servira au progrès de l’humanité? Si l’on parle de "mystique", on effraie la grande majorité qui n’a accès qu’aux modes de sensation naturelle et l’on ne pourra jamais la faire porter à l’emplacement qui reste de la raison, réduite à de vils travaux mais non pas morte. Parlons donc plutôt d’ "intuition", celle qui permet aux êtres humains de toutes catégories (savants, artistes, sportifs, politiques, religieux,..., voie commune ou non) d’arriver au succès final de leurs entreprises, dans le cadre de leur destin.

En franchissant le pas, dans le Principe de Contradiction Moral, l’homme est DIEU mais dans la foi , forcément vivante expression de l’éthique, en l’homme parfait auquel il devra s’identifier.. Étant donné le vice d’orgueil et de violence inné dans les profondeurs de l’être humain, il en résultera une porte ouverte à la manifestation d’une multitude d’antéchrist. Il est vrai que cette métaphysique unitaire ouvrira le monde à une pollution extraordinaire de ces faux messies, à commencer peut-être par l’inversion de l’image du Christ catholique , seule véritable puisque sans cet appui il ne saurait y avoir aucune espérance de vérité, qu’on tenterait dans l’Église elle-même et qui peut aboutir à la décision dramatique que le Pape, régulièrement élu, aura seul à prendre.. On ne peut cependant pas en faire l’économie, car les temps arrivent à leur finitude et la vie sur terre qui y est très limitée, est un combat incessant.....

11/02/05b ... Dans cette optique, DIEU donc: "ÊTRE et néant à l’ÊTRE". Il ne s’agit pas d’un simple jeu ontologique mais de la manière dont la foi appréhende le mieux le Principe de Contradiction Moral. Nous n’oublions pas la pire qui est épreuve aussi morale de la déréliction, DIEU: "néant et ÊTRE au néant", à laquelle succède cependant la Gloire Pascale du Christ, sans quoi la foi en l’homme parfait n’a aucun sens...

Appréhension ou bien épreuve de la foi (évidemment pas seulement ontologiques) peuvent se succéder en chacun et être présentes différemment selon les individus. Ce qui doit réunir à travers les joies comme les douleurs, est la certitude de la résurrection de l’homme, manifestée par celle des 40 jours sur terre du juif Jésus, suivie d’une ascension sans retour ( autre que mystique, jusqu’au jour du jugement et dans l’Eucharistie) dont, du reste, il n’est pas le seul à avoir été crédité (Elie, Mahomet, etc....).

12/02/05a .... Il ne s’agit donc pas d’une métaphysique qui se voudrait neutre, fondée sur une raison qui se détruit elle-même, mais d’une philosophie engagée, fondée sur l’universalité créatrice de la foi catholique. Son but est la fusion de la théologie et de la science dans la finalité bien précise du progrès et du salut de l’humanité...

Elle ranimera les théologies de la scolastique en les accomplissant pleinement jusqu’à l’unité de la nature des purs esprits....

L’essence de la démarche universelle de l’Église catholique par laquelle elle s’unit à toutes les autres religions, est la livraison à DIEU et aux autres, plénitude de l’homme-DIEU. Nous n’avons pas à nous en effrayer, cette livraison est mesurée à la force de chacun. Le sacrement qui nous réhabilite continuellement de nos manquements est celui de la confession à un prêtre ordonné c’est à dire un représentant de l’homme-DIEU parfait. Nous croyons donc que dans cette marche vers la perfection de l’homme-DIEU, séparés que nous en sommes par le "péché", nous sommes portés les uns les autres par l’interférence, visible ou invisible, des esprits bons (communion des saints) , par la moindre de nos actions ou pensées. Mais dans ce Principe de Contradiction Moral permanent, homme-DIEU que nous sommes, séparé de SA perfection par le péché, nous devenons parfait en reconnaissant et en combattant, même sans succès apparent, ce péché. Cela se fait bien entendu dans la hiérarchie de DIEU qu’on appelle "créatures". C’est pourquoi les évangiles insistent tant sur le non-jugement que nous avons à porter les uns sur les autres, tout en maintenant la loi morale.

13/02/05a Pour être trop didactique, la philosophie, même si elle s’approche de sa finalité, en restera toujours éloignée tant qu’elle ne voudra pas se soumettre à la foi au Christ. Mais un intuitif, comme on l’a bien vu (Bergson?) reste limité dans son expression à moins, par un miracle hors nature, de pouvoir lier intuition et didactisme, mystique et raison. C’est pourquoi de toute façon, intuitif, et de plus pas loin de mon achèvement terrestre, je ne risque rien de continuer dans ce sens, même si personne ne peut comprendre (!), à la condition d’être fidèle au sang versé par Jésus-Christ garant de la vérité eschatologique. Celle-ci se traduit ici-bas par le contraire de l’orgueil humain généralisé toujours dressé peu ou prou contre DIEU-homme.

Mais comment parler le langage de la fin des temps: l’homme-DIEU, principe de contradiction moral, "un et multiple pour l’un", l’univers et l’homme étant DIEU dans SON humiliation temporelle cherchant à faire partager à SON (SES) image (S) SA tendresse d’ Amour fondée sur SON humilité et douceur.

Le Christ, infiniment sensible, dont le but dernier, évidemment est cependant notre bonheur éternel, n’est pas seulement messager de souffrance comme certains l’imaginent mais aussi donneur de joie dont les remerciements le touchent profondément. Ainsi l’humiliation douloureuse de l’homme-DIEU nous touche parce qu’elle partage notre souffrance, physique, morale et spirituelle, si celle-ci bien sûr ne raidit pas notre orgueil contre son enseignement.

14/02/05a ....L’a-philosophie qui découle de tout ce que j’ai dit à ce sujet, pour encore succinct que cela soit, radicalise complètement le choix humain et le réduit entre l’Amour ou la haine. Faut-il accélérer cette radicalisation que d’autres ont déjà entrevus en prenant ,eux, le parti de l’inversion? L’Église est-elle prête à ce choc (cf. 11/02/05a) ? Déjà un simple film hollywoodien a effleuré du doigt la scission qu’elle porte en elle. Si le Pape a pu montrer sa détermination, à ce sujet, seulement en béatifiant la bienheureuse qui a été à l’origine de cette production, en ce qui concerne la pensée philosophique, dont on connaît le pouvoir d’infiltration, il s’agit de toute autre chose. Mais l’Église catholique " experte en humanité" demeure inflexiblement d’une sage lenteur que d’aucuns impatients lui reprochent, par rapport aux excitations du progrès. Ainsi il est plus urgent de préciser, avec l’appui visible ou invisible des enfants de rien, le visage nécessaire du Christ, homme-DIEU parfait, sur lequel reposera toute l’humanité, qu’autre chose. Malgré le progrès sous-jacent des sciences qui nous talonne et auquel on peut être soi-même acculé, il est bien plus indispensable de comprendre dans SON fondement le Messie que l’Église enseigne...

C’est donc à cette tâche qui m’a semblé toujours prioritaire y compris depuis quatre ans dans ce site www.f-v-m.net qu’il faut continuer à s’atteler, sans négliger pour autant l’évolution de la pensée contemporaine. Du reste il ne s’agit pas tant de laisser un nom dans l’histoire des hommes que d'y être avec la grâce de DIEU ce point imperceptible de SA Volonté sur nous...

14/02/05b ... Même les sciences ne vont pas être exempte du problème moral final qui est d’être avec ou contre l’homme-DIEU parfait, en posant celui-ci dans SA dernière absolue de Principe de Vie. D’un autre côté je ne vois pas en expérimentant sans cesse les sollicitations désastreuses dont je suis l’objet couramment, alors que je n’ai pratiquement aucune instruction valable, hormis celle mineure des arts plastiques classiques, comment un chercheur, flatté par les pouvoirs de son savoir, pourrait résister à l’orgueil et violence humains innés, toujours dressés contre l’humilité et douceur de DIEU du Messie catholique. C’est vrai que dans le passé on a vu de telles puissances que je gratifie de didactiques, servir SA cause. Mais il s’agit ici d’un tout autre champ et c’est la seule foi au Règne affirmé, à la Toute Puissance et à la Gloire de résurrection du Christ bafoué et crucifié qui peut faire le poids. C’est pourquoi, quelque soit l’individu à y être appelé, il est si nécessaire d’avoir à faire, pour nous y aider, à un tiers sans tache, comme nous le croyons de la Vierge Marie, autant pour sa parthénogénèse, que pour l’effacement douloureux de toute sa vie, et dans la foulée à celui que, pécheur, le Christ nous promet à la tête de SON Église, préservée des portes de l’enfer, le Pape.

16/02/05a .. Nous avons vu, bien pauvrement il est vrai, que pour l’accomplissement unitaire de la philosophie, il fallait renoncer à elle et tout fonder sur la foi en la plénitude catholique de l’homme-DIEU Jésus-Christ. Peut-être les prémices d’une a-philosophie nous en sont données. De même dans la dépendance qui en résulte pour les sciences, il faut accepter cette même voie. Mais si pour les modes de pensées sémantiques , cela est peut-être plus facile, dans le domaine des sciences dont nous voyons chaque jour le triomphe des réalisations pratiques, il peut en paraître tout autrement. Comment dans l’optique d’une métaphysique unitaire la science peut renoncer à la science, c’est à dire réduire sa logique comme on a réduit la raison à un rôle mineur? Le seul Philosophe de l’histoire qui semble avoir approché un peu de ce problème, Nicolas de Cues, parlait d’une "docte ignorance" nécessaire, fondée sur la foi. Il s’agit ici, non plus d’une "docte" mais d’une "ignorante ignorance" avec pour moi l’emploi malhabile que peut faire un baudet des outils, il est vrai performants, de son époque. La foi soulève cependant les montagnes et la vision de l’intégrateur de Puissance, appelé "char du Seigneur" qu’en a fait, sans aucun doute, en 1998 Luz Amparo Cuevas à l’ Escorial en Espagne, m’est d’un grand réconfort. Je comprends bien cependant la solitude absolue dans laquelle on ne peut que se trouver dans ce domaine.

Voilà du reste, ce que j’oserais avancer en calcul unitaire (cf.déjà mathematique), sous forme d’une équation sans contrepartie puisque rien n’égale DIEU-homme Trinitaire, TOUT et rien moral:

1/2/+/-/1/2°°°
1/0

16/02/05b ... Nous sommes donc chacun le corps individuel et personnel de DIEU que nous avons blessé par tant de renouvellement du péché et à sa suite d’ingratitudes, suivant la liberté révoltée de notre néant qu’en elle-même on appelle l’âme. Le Christ, seul homme-DIEU sans péché et souffrance incommensurable de DIEU, nous en offre que pardon et Miséricorde. Mais l’homme, dans la trame de son histoire peccamineuse est porté à vouloir s’approprier l’univers pour le propre compte de son néant , le préparant ainsi à sa destruction et non pour l’Être de DIEU. Car l’univers-DIEU, émission humiliante de l’éternité céleste, a été fait pour le plein épanouissement éternel de la créature-DIEU. Le couvercle aveuglant de la continuité de l’histoire est la condition qu’il a à soulever par la foi. Je pense que d’autres le reconnaissent déjà sous une forme ou sur une autre, ou le reconnaîtront facilement, de même que d’en appliquer les conséquences à toutes les données de l’activité humaine. Toutefois il faut bien comprendre que cela ne peut s’attribuer en aucun cas à un être humain quelqu’il soit mais à l’intervention Toute Puissante de Jésus-Christ dans sa douceur et humilité fondement de SON Amour pour l’homme.

À ceux donc qui peuvent ou pourront avoir la charge d’y travailler de ne pas se tromper pour le bien d’eux-mêmes comme de l’humanité ....

17/02/05a ... En ce qui concerne les sciences, dire la relativité de la logique n’a rien de nouveau pas plus que de dire celle de la raison. Il s’agit ici de toute autre chose. Il s’agit d’une rupture complète. Ce que nous enseigne la foi catholique en l’homme-DIEU parfait, est que l’ÊTRE repose sur le néant Libre, donc pour nous moral. Il ne nous appartient pas d’entrevoir les liens entre Liberté et néant. Nous n’en avons que les lois morales dont le fondement révélé par la vie du Christ, appuyée sur la Bible, est la livraison à DIEU et aux autres.

Nous avons donc avoir les modifications suivantes apportées dans notre calcul précédent:

1/2=>+=>-1/2°°°
1=>0L

"L" représentant le choix "moral" qui est offert à tout être humain quel qu’il soit ....

18/02/05a ... l’amour sur terre étant en attente de sa plénitude éternelle, il n’est pas étonnant que les souffrances de sa frustration soient parfois vives. Cela d’autant plus que son exigence de pureté et de plénitude sera violente. Ainsi en est-il d’une manière unique de Jésus-Christ. Ne croyons pas cependant qu’IL méprise nos amours imparfaits dont ceux évidents des nécessités de la vie temporelle. C’est sur cette foi de l’attention particulière du Christ pour ce qui forme l’étroitesse du fil matériel conducteur de l’histoire que cette recherche de la métaphysique unitaire ou unitologie est fondée comme nous avons à le redire. Mais il faut aussi le vivre et ne pas chercher à prendre possession de l’homme-DIEU parfait mais à s’y soumettre jusque dans sa nudité. C’est pourquoi il faut agir vis à vis "du" soi-même, toujours enclin à la révolte, avec la plus grande prudence et avancer dans ce domaine spacio-céleste à tout petit pas sans avoir peur d’avoir à reculer. À chaque instant il faut remercier le Seigneur de son ignorante ignorance qui nous garde en partie du dérapage auquel sont soumis, si facilement, les doctes, surtout là où on doit toucher à la finalité du temporel. Mais , sans recours constant au feu dévorant des souffrances d’Amour du Christ, auxquelles nous sommes amenées par celui de Marie et des esprits bons, cette forme même d’ignorance ne suffirait pas tant la nature humaine dans sa liberté séparatrice se trouve viciée.

19/02/05a Ainsi donc toute souffrance n’étant qu’humiliation, c’est l’humiliation de DIEU dans l’univers, que la vie de Jésus-Christ révèle. On ne peut croire en effet qu’il n’ait vécu les prémices de SA Passion, tout au long de SA vie. On ne peut cependant pas regarder cette humiliation Divine sans se faire épauler par ceux qui y ont communiée en droiture de jugement, sous peine d’irrespect à laquelle, dans notre déchéance spirituelle, nous sommes naturellement portés. Cependant cette prise de conscience de l’humilité de DIEU éternel se faisant temporalité est une nécessité que réclame l’évolution des temps. N’ayons donc pas peur du "sacrifice humilié" dont l’Église renouvelle à chaque messe celui du Christ et dont l’incarnation de l’Eucharistie qu’Elle proclame nous rattache au fil de l’histoire humaine et céleste. Ainsi il faut être avec le Christ, dans le point fugitif de l’histoire terrestre, ce néant de sacrifice d’amour humilié qui supporte l’existence du monde.

L’ignorante ignorance, portée par la foi, doit avoir toutes les audaces Et néanmoins rester à sa place qui est la dernière de toute, fût-elle propulsée sur les devants de la scène! Malgré cela nous ne pouvons nous enfouir nous-même dans notre néant, sans ce regard continuel sur Jésus-Christ.

ÊTRE et néant moral, l’ÊTRE s’assume dans le néant. De même l’ être et néant moral , dans sa hiérarchie, s’assume ainsi.....

20/02/05a DIEU s’aime LUI-MÊME d’un amour absolu, dans SON ÊTRE infiniment humble et doux, s’humiliant au néant d’où IL renaît de Toute SA Puissance. Dans LA Bonté extrême de l’absolu de SON Amour, IL a voulu en traîner dans ce mouvement d’autres LUI-MÊME dont SES créatures humaines à travers la souffrance nue qui est nécessitée pour LUI et un peu pour elles.

Nous ne pouvons pas comprendre ce Principe de Contradiction, mais il nous est demandé d’accepter avec LUI la morale d’humiliation d’Amour, incarnée par le Christ, DIEU-homme parfait, image et réalité de tout ce qui existe dans et hors de l’univers.

Notre nature viciée d’orgueil est portée à se moquer de toute forme d’humiliation. Aussi pour accepter celle de DIEU, il nous faut nous appuyer sur l’interférence des esprits qui ont refusé, refusent ou refuseront cette moquerie et que l’Église appelle la communion des saints.

Je suis amené à dire que tout y compris la matière est à la ressemblance de cette humiliation qui nous touche de si près et qui est si douloureuse. Je n’ai pourtant rien pour l’étayer, aucunes études préalables, peu de moyens et peu de temps à vivre encore, sinon seulement des intuitions pures. De plus assimilé par ce que je suis aux mêmes faiblesses morales de ceux qui dans la Bible ont été entraînés jusqu’à donner la mort à un innocent, Pilate avec Jésus, Hérode avec Jean-Baptiste, David avec Urias, ne sachant rien de la conversion in extremis d’un Hérode ou d’un Pilate, je me tourne vers l’exemple de David qui a plu à DIEU jusqu’à en faire l’ancêtre de SON Messie. Lui , donc, à la voix du prophète s’est retourné vers DIEU par l’humiliation de la pénitence. Nous autres, après l’incarnation du Sauveur, avons à le faire AVEC LUI et cela pour la moindre faute, a fortiori pour les plus grandes, souvent dans la patience des lancinants remords. C’est en cela que nous reconnaissons notre acceptation de l’humiliation d’amour Divin, préalable à toute nouvelle métaphysique, la théologie mystique devant l’intégrer au même titre que l’éthique des sciences. Nous travaillons donc au risque de l’Esprit dans la souffrance rédemptrice insondable du Christ.

21/02/05a ... Il ne s’agit pas d’établir une métaphysique comme il y en a tant eu jusqu’à ce jour, mais de présenter les données de fin du monde que seule l’Église catholique est à même de gérer. En conséquence le déroulement d’un journal qui dure depuis l’an 2000 n’est pas trop long. Quant à ce qui doit suivre, la prière continuelle et le sacrifice de la solitude intérieure en représenteront la solidité. Il ne faut guère se faire d’illusion sur le porte-à-faux considérable inauguré face au comportement actuel, aussi bien laïc que religieux. Tout est pourtant fondé sur la certitude d’une ouverture de Miséricorde Divine sans précédente pour le temps qui s’ouvre. L’Église devant jouer un rôle primordial, c’est sur Elle que doit reposer tout critère à venir. En effet même à travers les pires situations dans lesquelles Elle a pu se trouver, le long des siècles, Elle n’a jamais failli à son enseignement véritable des âmes. Le fondement dénudé de ce qu’Elle a toujours promu, et dans lequel celui de toutes les religions pourront se reconnaître, est exposé ici, dans une analyse qui peut peut-être dérouter un certain moment.

Est-ce trop en avance? Faut-il y mettre une sourdine et des délais d’attente? L’Église saura en dernier ressort le déterminer. Mais ma situation d’ignorant ne doit pas faire illusion. Ces idées sont dans l’air et si d’autres sauront peut-être mieux les exprimer, pour en détourner le sens, elles n’en restent pas moins valables.

Ainsi le ciel doit descendre sur la terre, dans sa manière de contradiction unique, comme marche de sa réalité continue de la terre au ciel. Ce n’est pas qu’on ne puisse évidemment comprendre le sens aplati de l’histoire qu’en voudront donner des penseurs comme Hegel ou tant d’autres. On peut facilement concevoir leur point de vue rationnel. Mais le fond n’en est pas bon. Pour remettre la conduite de l’histoire à sa place véritable, il faut comme pour le reste lutter contre sa dictature, préférant l’insertion spirituelle de chacun. Il y a c’est vrai antinomie entre l’esprit totalitaire du monde et l’esprit de la toute petite équipe des enfants-de-rien. Dieu cependant régit le déroulement de l’histoire des hommes en vue de leur place dans l’éternité que nous ne pouvons facilement comprendre. Et s’IL veut, comme je ne cesse de le dire , faire grâce au temps qui vient, IL a les moyens nécessaires pour retourner l’esprit de ceux-mêmes qui LUI sont le plus opposés. Dans ce retournement général l’Église aura donc à veiller, comme elle le fait déjà, mais plus particulièrement sur la bonne conduite des enfants-de-rien qui sont les piliers du monde ...

23/02/05a Prédicat (Messianique)

Pourquoi fonder une a-philosophie, c’est à dire un ensemble englobant tout ce qui a été possible de dire sur la pensée par une proposition Divine préalable? [I. faire le survol de l’histoire de la pensée] C’est qu’il n’y a pas d’autre notion , fut-elle négative, qui englobe l’univers et le non-univers aussi rigoureusement et parfaitement puisque comme le révèle la Bible, accomplie dans cette entité par le juif Jésus-Christ DIEU, Suis celui qui suis. Il n’y a aucun point commun même entre CE NOM et sa négation éventuelle. Ainsi donc comme aucune représentation ne peut en faire une idée, nous sommes obligés de nous en remettre pour LE connaître à la révélation de l’homme-DIEU, enseigné par SES disciples. Autrement dit, comme l’ont pressenti un nombre considérable de penseurs, l’homme lui-même a des influx de DIEU et est en fait une reproduction de DIEU, forcément un et multiple, comme il ne peut qu’ÊTRE et néant, Immuable et en Mouvement, Éternel et temporel ... Là, où nous sommes obligés de nous arrêter, consiste à la réalité morale dont tous nous vivons et au libre choix qui s’impose à nous, non plus comme dieu, puisque nous en sommes pour une part l’incarnation (SON image) ,mais comme adhérant à SA nature. La nature de DIEU ne peut dépendre de l’intellect humain puisqu’il est dans sa totalité d’être vivant temporairement, soumis au libre choix qu’il a à en faire [II. Rappel, liberté naturelle contingente cf. La Rochefoucault..., hors nature immanente, cf. remords, Bergson ...]. Il faut donc qu’elle lui soit désignée d’une manière singulière, hors de comme au dedans de lui-même. C’est pourquoi le long cheminement de tout un peuple à ce sujet, comme l’a été celui du peuple juif, est précieux [III. Rappel analyse Levinas et tout ce qui y amène] mais il ne se suffit pas. De simples prophètes ne peuvent nous contenter. Il faut la foi en une parfaite incarnation Divine par un homme, le Messie.

25/02/05a Prédicat ( Christique)

... Si nous devons fonder une a-philosophie, englobant toute la pensée humaine, sur l’homme parfait, parfaitement DIEU, il est évident qu’il ne faut pas se tromper sur son choix puisque sur LUI reposera tout l’édifice. De même il ne faut pas nous tromper sur l’interprétation que nous pouvons faire de SA personne, de SES paroles et de SES gestes....

Programmé avant et après SA naissance par toute l’histoire d’un peuple, le juif Jésus-Christ dont la vie est établie indéfectiblement par les quatre évangiles inséparables, le témoignage de SES disciples et le suivi de l’Église catholique, représente ce Sauveur en qui nous mettons notre foi.

On a voulu détacher sa vie humaine de SA vie proprement Divine et inversement. Si l’on a intérêt à étudier d’une manière de plus en plus serrée sa vie d’homme, on ne doit pas pour autant oublier sa vie eschatologique conjointe. L’équilibre entre les deux n’est pas facile et c’est justement dans cette vision unitaire que doit résider toute perfection de pensée.

Il est donc bon de soumettre ses propres évocations à un ensemble d’interprétations sûres dont le Christ nous a LUI-MÊME désigné le chef malgré ses propres limitations. TOUT et rien est DIEU dans SA voie morale... DIEU Amour seul s’aime LUI-MÊME. Par conséquent l’univers est l’humiliation temporelle d’un DIEU éternel qui cherche l’amour de SON propre visage dans le néant libre de SA créature révoltée. Sa créature ne peut être qu’à SON image: petit être amené à renaître ÊTRE du néant.

Cette soumission de DIEU-créature à DIEU-Trinitaire (Père, Fils, Saint Esprit) [IV. Rappel de la théologie chrétienne ouvrant à la quaternité....] dans une déréliction totale demeure donc l’épreuve suprême qui nous est demandée. Le temps d’une vie tâtonnante nous est donné pour nous y acheminer. Nous n’avons pas à juger du résultat final, autre que la supposition de foi catholique des béatifications. Car " plusieurs qui se croient dans l’amour sont peut-être dans la haine et plusieurs qui se croient dans la haine sont peut-être dans l’amour"( A. de Foligno) ...

25/02/05b Prédicat (de perfection)

La forme de commandement suprême donnée à SES disciples par le Messie est d’être parfait comme le Père des Cieux est parfait. Devant ce que nous voyons ou croyons voir d’imperfections en nous ou autour de nous, le moins que l’on puisse dire est que nous marquons un temps d’arrêt devant cet engagement. Puisque le fond de SON enseignement nécessite que nous nous aimions les uns les autres comme LUI nous a aimé, comment donc le faire parfaitement alors que nos manquements, si nous voulons être honnêtes, "sont plus nombreux que les poils de fourrure d’un simple chat" (Catherine de Gênes).

Le support de la vie du Christ reste sans conteste les douleurs de SA Passion pour lequel nous disons qu’IL a racheté le monde , à l’encontre de ceux qui n’en veulent pas. Il n’est pas difficile de se rendre compte avec tous les mystiques chrétiens, que les souffrances de SA Passion ont été expérimentés d’une manière ou d’une autre comme pain quotidien de toute SA vie depuis SON incarnation jusqu’à SA résurrection terrestre et ceci pour compenser les séparations volontaires ou non de notre néant d’avec le Visage unique Divin [V. Rappel de la nécessité de l’unité dans toutes ses composantes ...].

C’est pourquoi la perfection consiste donc à toujours fixer dans la foi, d’un coeur aimant, c’est à dire y unissant les souffrances de toutes les créatures droites, la réalité des souffrances du Christ, actualisée à la messe par chaque consécration du pain et du vin eucharistique, et à y revenir sans cesse tout en n’arrêtant pas de tendre à faire toutes choses le mieux possible.

Dans la hiérarchie des individus et des circonstances, ceux qui, de toutes religions, comprennent bien cela sont les soutiens des autres et d’eux dépendent le salut du monde comme des âmes. Mais sans l’appropriation d’une créature préservée de cette révolte qui est en nous, pouvant unifier les autres, nous ne saurions approcher pleinement des afflictions sans limite rédemptrices du Christ dont notre nature viciée, d’elle-même, a tendance à se moquer. C’est pourquoi nous avons besoin de la Vierge Marie, immaculée dans sa conception, de même que de l’interférence des esprits qui la suivent...

26/02/05 ... nos sacrifices, notre faible pénitence, c’est Jésus. TOUT est LUI, rien, par SES souffrances, en dehors de LUI, en souplesse d’union, avec le chien qui aboie, l’imprévu qui tombe, la faute qui agresse... l’infini des souffrances rédemptrices du Christ dépasse d’un infini, l’infini de nos faiblesses .....

26/02/05a Prédicat (épicentre)

... Nous avons besoin d’une approche de l’univers à la fois explicative et rassurante. En voulant prendre possession de ce dernier, les êtres humains ne cherchent qu’à repousser ce qui au fond d’eux-mêmes risque de leur paraître effrayant. Qu’est donc ce point tellement alarmant? [VI. Approximations de Freud, Lacan, ...] Nous nous fondons sur la vie intégralement catholique de Jésus-Christ. Tout converge vers la déréliction de la Passion où manifestement le Messie se trouve affronté en quelque sorte au néant de LUI-MÊME. Puisque SON Père des cieux l’a abandonné, IL ne sait même plus, si ayant porté les péchés du monde, IL sera sauvé ou damné. Mais dans cet état IL ne se rebelle pas et soumet SON esprit intégralement au Père céleste. Sa résurrection sur terre pendant 40 jours , trois jours après, attestée par SES disciples, nous confirme SON salut. L’Église se fondant sur les événements de la résurrection de nombreux saints après SA mort sur la croix, enseigne SA présence parmi eux, pendant les trois jours d’attente, pour leur ouvrir l’éternité.

Ainsi donc le point d’horreur auquel est soumis inconsciemment toute l’humanité est celui du "néant dérélictif" de la mort et de la souffrance où l’on doit tout quitter comme DIEU LUI-MÊME, ÊTRE et néant, le fait pour renaître à SOI-MÊME.

On remarque donc que c’est cette soumission dernière totale qui est l’enjeu et dont l’humanité toute entière a peur. Le Messie nous fait comprendre qu’avec LUI, en suivant pas à pas son enseignement, suivant nos capacités, développé par l’Église, il n’y a pas lieu de s’en effrayer. C’est pourquoi toute notre vie nous avons à tenter d’y être fidèle. Non pas que nous le pouvions, puisqu’IL nous dit que sans LUI nous ne pouvons rien faire et que notre liberté est contingente jusqu’à LUI-MÊME, mais LUI être uni dans cette intention cachée aux yeux de tous et même souvent à nous-même.

27/02/05a Prédicat ( appliqué )

Pour être uni au Christ qui nous agit en tant que moment parfait de DIEU à DIEU, il faut essayer de marcher, suivant nos possibilités, portés par les commandements de SON Église, commandements qui sont universels et que chaque religion peut retrouver au coeur d’elle-même.

C’est dans une a-philosophie unitaire ou unitologie que nous pouvons mieux nous rendre compte de cette universalité qui a aussi ses opposants destructeurs. Ainsi chaque être est à l(image de DIEU, d’une façon immuable en mouvement vers ce point d’anéantissement qui ouvre à une renaissance éternelle, renaissance dont certains mystiques sont déjà témoins ici-bas. Tout dans l’être doit agir de cette façon , depuis la raison jusqu’à l’intuition. Immuable et en mouvement, un ET multiple, Être et néant, .... avec la clef morale dont nous sommes dépendants. Inconsciemment nous savons très bien en quoi consiste cette morale qu’on appelle le BIEN. Mais c’est vrai qu’elle est obscurcie au fond de nous-même par cette hésitation ou refus de nous perdre dans la foi au Christ qui nous conduit, humblement et doucement, à ce néant dérélictif créateur dont nous avons déjà parlé. Oui c’est la vitalité de la foi , qui chaque jour dans son application plus ou moins parfaite, nous amène à embrasser sans crainte, petit à petit, ce point final renaissant. La foi s’éduque à travers les approximations de beaucoup de religions et en plénitude dans la révélation catholique de l’homme-DIEU, Jésus, non pas que ses fidèles paraissent à l’exception près des parangons de sainteté mais il leur est donné de toucher du doigt l’épicentre de la vocation humaine [VII. Comparaison des morales foncières religieuses .....] . Il y a une lutte terrible en résultant entre deux pôles humains mais cette métaphysique unitaire n’a pour objet que de conforter la mondialisation de la foi dont la Providence, "suivi" de l’histoire humaine, veut nous gratifier en apaisant les troubles de tous.

28/02/05 Nous n’avons qu’à tendre vers les cieux , le filet de notre patient consentement, comme le scientifique serre les mailles de ses connaissances dans l’espoir d’une pêche intuitive fructueuse.

28/02/05a Prédicat (historique)

Le suivi de l’histoire des choses-DIEU commande; l’être-DIEU parachève avec le libre accord du néant qu’est l’âme.

L’ÊTRE au néant pour renaître ÊTRE représente bien le mouvement immuable moral de DIEU. Nous devons donc, DIEU seul ayant l’existence comme la non-existence, au top moral, toujours nous trouver en adoration.

Mais qu’est-ce que cette sombre couverture du moment de l’histoire qui recouvre l’être humain et à laquelle il est si attaché. C’est en effet la trame ordinaire de laquelle il vit. Pour l’homme de foi, ce n’est que la preuve de sa liberté extérieure, celle intérieure étant infiniment plus profonde et plus totale. La foi donc remet les choses à leur place et tout en participant à cette couverture selon les possibilités qui lui sont données, le fidèle va au-delà des apparences mathématiques. Du reste même ces dernières peuvent obéir à la foi et y être relatives.

Rechercher les choses d’en-haut, le reste vous est donné par surcroît . Ce manteau aveuglant de l’histoire tourmentée des hommes, à laquelle l’Église est soumise comme son Maître, Jésus-Christ, reste donc bien cependant un surajouté avec lequel il faut savoir prendre ses distances. Cela certes n’est pas facile et certains penseurs [VIII. Établissement de la rupture avec Hegel, etc ....] ont fait strictement le contraire. À dire vrai c’est un état d’esprit encore de la préhistoire. L’homme doit dans l’avenir qui s’ouvre à lui, se redresser et se fondre avec la foi qui domestique la raison. Ainsi il obtiendra sa vraie stature. Du reste, en s’appuyant sur ce prédicat même, la raison scientifique sera amenée à s’incliner. Toutefois il faut bien comprendre que l’homme inconstant en lui-même a besoin d’un chef DIEU-homme parfait, à l’âme sans attache à la volonté propre humaine révoltée qui est un handicap constant à l’assise de cette foi. Il ne faut pas non plus qu’il se trompe de visage. Et c’est bien celui du Christ catholique, dans sa livraison totale au Père et aux hommes, répondant donc à ce critère, qu’il lui faut embrasser jusqu’à la fin des temps malgré l’inversion qu’on peut en faire.

01/03/05a  Prédicat ( de l'âme)

Heureusement que je suis l’ignorante ignorance et ne marche ainsi sur les brisées de personne, car en fait ce que je dis de mon a-philosophie pourrait avoir les mêmes répercussions, pour la raison inverse, de celles en son temps de Galilée (toutes proportions gardées évidemment). Lui mettait en cause une certaine idée de la révélation vis à vis des sciences, moi je mets en cause une certaine idée des sciences vis à vis de la révélation. Du reste je conçois très bien que des théologiens puissent avoir du mal à admettre une métaphysique unitaire ultime mais réversible.

.... Si deux gamins s’interpellent: "Suis-je DIEU; toi, es-tu DIEU ?....". Ils en concluent "nous ne LE sommes pas!", de la même façon que les anciens croyaient que le soleil tournait autour de la terre. En effet nous l’avons redit: DIEU-univers est humiliation physique, morale et spirituelle de LUI-MÊME, trois termes énoncés, Principe de contradiction Moral..... Qu’allons-nous dire à ces gamins? Votre corps est image humiliée du corps de DIEU, Jésus-Christ LUI-MÊME, Trinitaire? Ils ne connaissent pas Jésus-Christ, même si au fond d’eux-mêmes ils en ressentent l’attachement. Comment donc pourraient-ils s’en reconnaître l’image? D’autre part l’humiliation de DIEU qu’ils sont, comment leur faire admettre cette réalité? L’humiliation? Ils la fuient, comme plus ouvertement tout un chacun des adultes, depuis leurs plus infimes possibilités, par leur désobéissance ou leur obéissance hésitante, par leur soumission à l’instinct de propriété, égoïsme, etc... En fait ils ne s’en rendent pas immédiatement compte, pour souvent ne pas accepter de lutter contre eux-mêmes, mais ils sont déjà "le péché". Ainsi donc l’humiliation temporelle de DIEU éternelle trouve son expression majeure dans l’être humain, intrinsèquement DIEU dans SA multiplicité mais avec en LUI cette liberté créée du néant qu’on appelle l’âme et qui doit le faire UN ÊTRE, dans sa personnalité corporelle, pour l’éternité. Ainsi l’âme a pour objet de s’unir au corps, parfaite humiliation de DIEU, pour renaître à jamais de son néant à l’image du Père. Elle a toute la vie temporelle pour le faire. Si , dans sa liberté, elle le refuse, ce sera l’enfer éternel effroyable d’une âme à la recherche de son corps qu’elle ne pourra plus jamais posséder et qu’elle cherchera à atteindre dans un supplice sans fin.

02/03/05 ... ne rien savoir d’autre que les souffrances de Jésus-Christ, douloureuses sur terre, glorieuses dans l’éternité, qui assoient le sourire de l’enfant, la joie des jeunes mariés, la sagesse des vieillards et la patience de l’Église avec le salut des âmes et des corps ...

02/03/05a Prédicat ( élection )

.. On s’est demandé si l’Église, animée par le Pape, n’était pas trop exigeante sur le plan de la morale et si finalement le message catholique n’était réservé qu’à une minorité. On voit bien que Jésus dans SON enseignement, engagé par Marie à Cana sur la route des miracles, s’adresse aux foules, en réservant l’intimité de la connaissance à quelques apôtres et disciples. Ce choix, Jésus-Christ l’affirme hautement et totalement délibéré. Aussi n’y a-t-il pas sur le plan de la foi, une élite comme dans le domaine social et politique où chacun lutte pour la plus haute place, mais des âmes choisies pour mieux comprendre, appliquer ou diffuser le message du salut. Celles-ci ne peuvent en aucun cas s’en adjuger un mérite particulier sinon celui de leur fidélité. Du reste dans notre a-philosophie nous avons bien vu que l’âme humaine n’était absolument rien qu’un néant libéré, de surcroît révolté, donc commun à tous et à chacun, et à qui est attribué un corps-DIEU qui comme le mouvement immuable Divin doit retourner au néant avant de revivre.

Il est primordial de savoir comment ce néant-libre révolté doit répondre aux exigences de son corps-DIEU pour accéder à l’union-ÊTRE définitive. Beaucoup se penchent vers le Seigneur Jésus, mais sans bien comprendre l’ampleur de SON don à notre déchéance. Ils ne saisissent pas bien, entre autre, cette soumission apostolique de LUI-MÊME qu’IL fait à l’Église catholique et qui , elle, représente bien ce qu’est la faiblesse humaine. Mais sans cette soumission à un groupe d’homme choisi et pourtant indigne, le visage du Messie se serait déjà dilué complètement dans le temps. Car ce centre pur de DIEU, ou coeur sacré de Jésus, à la fois attire par SA suavité, humble et douce et en même temps repousse justement par notre orgueil et notre violence. Ce qui compte reste de tourner le dos, comme nous pouvons, à cet orgueil inné en nous et de chercher de toute nos forces, l’humilité de DIEU qui s’éprouve LUI-MÊME dans l’humiliation temporelle. L’Église nous en donne les moyens par les sacrements qu’elle met à notre disposition, notamment celui de la confession qui traite par la foi avec l’émanation du Père des cieux.

03/03/05 Pour exprimer totalement notre amour, demander le summum de l’impossible qui est la sainteté .....

03/03/05a Prédicat ( quaternité )

Notre a-philosophie qui donne une métaphysique unitaire ou unitologie, nécessite que l’on aille jusqu’au bout de la représentation de la foi de l’Église catholique. Nous croyons que DIEU, Père, inconnaissable autrement que par l’intermédiaire du Fils, ne peut être vu par personne en ce monde. Pour établir SON égalité avec le Père, le FILS, Jésus-Christ, nous représente: "JE SUIS CELUI qui SUIS". Nous pouvons penser qu’engendré et non pas créé, le FILS est toujours dans l’éternité du Père comme le reflet de SON visage, ÊTRE dans le néant libre parfaitement fidèle. Nous croyons que le SAINT ESPRIT troisième personne de DIEU unique forme le cercle parfait d’Amour mutuel qui relie ÊTRE et néant moral.

Ainsi DIEU Trinitaire EST en LUI-MÊME et n’a besoin de personne d’autre. Cependant SON expansion d’Amour a vu le FILS s’humilier dans la temporalité néant de l’univers pour s’unir des créatures autres néant libre, chacune dans sa personnalité destinée à partager la Gloire de DIEU dans l’éternité. Autrement dit la créature libre par excellence, celle humaine, devient partenaire à part entière de la Divinité par son union au FILS, que nous reconnaissons être le juif Jésus-Christ.

Nous comprenons que TOUT, hormis la révolte qui est le péché, EST forcément DIEU, SA propre émanation ne pouvant être considérée que comme LUI-MÊME. Ainsi pour être logique ce n’est pas seulement DIEU Trinitaire qu’il faut contempler mais DIEU Trinitaire et SA complémentarité créatures sanctifiées, autrement dit DIEU, un et multiple, EST aussi bien Trinité que "quaternité".

Cette considération, que je soumet en tout état de cause à l’appréciation de l’Église catholique, s’impose d’autant plus que dans cette a-philosophie on peut considérer que Jésus-Christ, comme l’avait vu Teilhard de Chardin**, ne se circonscrit pas à un être humain historique mais au cosmos.
**16/04/05a Note: À propos de Teilhard de Chardin et de la référence que j’en fais, il faut noter "qu’il faut soigneusement distinguer le progrès terrestre - aussi spirituel qu’il paraisse - de la croissance du règne du Christ (Vatican II; Gaudium et spes p.39)"., et que ce sera là justement le travail éminent de l’église catholique dans un monde de christianisation universelle qui aura tendance à vouloir confondre les deux.

Si bien que nous comprenons que nous ne pouvons pas nous contenter d’un seul infini, fut-il celui apparent de l’univers et des mathématiques, mais que nous devons élever notre esprit avec le FILS à l’Infini de l’infini que LUI-MÊME introduit dans la temporalité et la quantativité. Car il est évident que non seulement le Christ est l’ w mais aussi l’ a et Seigneur du temporel. Ce qui reste, bien entendu au fond de chaque DIEU (ou image de DIEU pour parler un langage plus conventionnel) que nous sommes, est cette révolte du néant-libre qui se scandalise du bien qu’est l’humiliation de DIEU et du mal qu’est la souffrance, se refusant sans cesse par le péché actuel, dérivé du péché originel, à la fusion de sa volonté avec celle de l’ÊTRE, ce qui n’existe aucunement dans le FILS et par grâce unique dans une créature la Vierge juive Marie.

03/03/05b Prédicat ( d'actualité )

Nous avons vu le 17/02/05a une nouvelle forme d’approche mathématique: "L" devenant dans les calculs une liberté morale. Nous n’avons pas parlé du signe " °°° " qui ne peut être rien moins que l’infini dépendant de l’INFINI, ce dernier n’appartenant pas à l’univers et non comptable d’une science panthéiste comme celle dont nous connaissons les succès jusqu’à présent. Ainsi nous allons arriver à une forme d’équation de deux termes hors mesure °°°/L . Il n’est pas dit que celle-ci ne soit pas inutile à l’application d’un engin pré-apocalyptique comme l’intégrateur de Puissance. Quoiqu’il en soit, ce qui compte réside en tout ce qui peut permettre à ce néant-libre qu’est l’âme, d’apaiser la révolte qui entraîne sa damnation et de se soumettre au Sauveur qui puisse l’en libérer.

C’est donc la science de DIEU, dans toutes ses approches, qu’enseigne le Messie, Jésus-Christ, qui doit retenir toute notre attention, en ne quittant jamais, quelles que soient ce qui puisse paraître des nouveautés nécessaires, le garde-fou des dogmes de l’Église catholique. Nous voyons bien que le Principe de contradiction moral appliqué au Divin rentre dans ce cadre et que reconnaître l’univers et spécialement l’être humain racheté en Jésus-Christ comme le champ de l’humiliation céleste correspond bien à la réalité saisissable à travers notre chape d’aveuglement temporel.

Ainsi nous connaîtrons DIEU par l’homme et l’homme par DIEU. Mais si nous parlons de l’humiliation, preuve par neuf de l’humilité, de CELUI-CI, nous ne pouvons pas éviter le rapprochement avec la nôtre et considérer qu’elle est le fondement de toutes souffrances, physique, morale ou spirituelle. Il n’est donc pas étrange de penser que les souffrances de DIEU en SON Fils ont été hors normes et ont inclues celles de tous les humains passés, présents et à venir. Le mince récit qu’en fait les évangiles ne doit pas cacher la réalité de la vie de Jésus, indéfectiblement un avec SON Père dans l’Esprit Saint. C’est pourquoi nous devons avoir sans cesse à l’esprit, avec le but final d’éternité céleste, le coût de la rédemption du genre humain.

04/03/05 Le temps de l’univers, c’est l’heure de la détresse de DIEU en même temps que de SA joie du salut. Sachons nous unir ....

04/03/05a Prédicat ( de l’ église )

Cet a-philosophie fondement d’une métaphysique unissant théologie et science, nous porte à mettre à nu l’homme-DIEU dans SA détresse temporelle. Mais remarquant la cruauté de notre irrespect d’orgueil naturel pour tout ce qui est faible, nous ne pouvons approcher d’une telle vision dans la solitude de nous-même.

Nous devons avoir recours à tout ce qui avant nous, avec nous ou dans l’avenir a été capable de soutenir un tel aperçu. C’est bien donc , portés par la communion spirituels des saints à la tête desquels figure la Mère de l’homme-DIEU "parfait" (le langage satisfaisant manque), préservée de toute équivoque de volonté personnelle, que nous allons regarder des yeux intérieurs vers l’humiliation sans nom de la croix écartelée de Jésus-Christ. Sans cette aide qui va se concrétiser matériellement dans l’Église catholique par les sacrements et le guide des dogmes, nous ne pourrions qu’approcher bancalement d’une telle souffrance Divine. Car l’intensité de cette humiliation dépasse la conception que nous pouvons en faire et cependant l’amour nécessite le respect de l’ÊTRE aimé.

Dans l’Église tout doit être sujet de respect depuis le dernier des fidèles jusqu’aux plus hautes autorités hiérarchiques. Bien sûr tous, et pas forcément hiérarchiquement, ne reçoivent pas les mêmes dons et de ceux-ci ne dépendent pas les mérites aux yeux du Père qui sait lui juger sereinement et en vérité de toutes choses, mais de tous dépend notre fidélité à ce qui est demandé. Ce respect est la condition de celui que nous donneront au Christ et nous permet l’exercice plus aigu de la libération nécessaire de la chape orgueilleuse de l’histoire qui nous enferme obscurément.

07/03/05a Prédicat ( hiérarchie )

DIEU ÊTRE et néant moral en toutes choses, renaissant du néant, l’être humain n’a de réalité à lui que la liberté qui va au néant Divin. C’est pourquoi la vocation, fondamentale, nue et absolue de tout être humain consiste en cette livraison à DIEU-soi et évidemment aux autres-DIEU. Cette liberté s’incarne dans toute la vie morale de l’individu qui a ses lois, celles de la conscience et celles de l’Église révélatrice de la conscience parfaite de Jésus-Christ, auxquels elle doit se soumettre comme au mouvement immuable Divin. C’est ainsi que cette liberté fixe elle-même sa destinée éternelle. Jésus-Christ, pur mouvement immuable de DIEU, transcende en les fixant, ces lois. Et c’est par la foi droite en l’humiliation Divine de SA personne Trinitaire que l’homme vient à fusionner sa libre volonté avec celle du créateur.

Il ya forcément dans l’ ÊTRE et néant moral, un et multiple, une hiérarchie. Cette hiérarchie se retrouve à travers toute la création. Elle touche principalement les enfants-de-rien de toutes religions, à commencer par les catholiques porteurs de l’intégralité de la révélation, qui reçoivent la responsabilité d’une livraison effective et constante, afin d’amener, visiblement ou invisiblement, la liberté des autres à la même ultime livraison, fixant éternellement dans la béatitude ou dans l’horreur.

Nous comprenons alors pourquoi l’Église a tant de sollicitude pour conduire la perfection des âmes, quitte à n’être pas suivie par le grand nombre. Bien entendu si ce fondement de livraison est la vocation ultime de l’homme, elle le rendra plus parfaitement humain dans la mesure où il s’en rapproche.

08/03/05 ... IL ne faut voir l’humiliante souffrance de DIEU en nous qu’avec celle du coeur de la Vierge Marie, arraché par la lance ouvrant la poitrine de Son Fils mort, et celle de tous les saints.

... l’Église catholique est l’assise du Christ à la quelle appartiennent les saints de toutes les religions ..

08/03/05a Prédicat ( vocation )

Les mouvements spirituels incontrôlés ou même hérétiques et schismatiques qui se font jour ici ou là ne sont pas sans rapport avec une vérité partielle mais mal élaborée. Ainsi ce qu’on appelle le new age dans son évidence d’un temps nouveau bénéfique n’est pas sans exactitude. Pour moi qui doit le voir du point de vue catholique, c’est à dire entier, si j’ai également cette intuition, et de plus appuyée sur une approche concrète, ma vision du don de la foi au monde entier, source de bien, ne peut se déprendre que celui-ci sera pré-apocalyptique et sujet à des cautions. Car s’il n’est pas entretenu et développé, il peut aussi bien être enlevé.

D’un autre côté si les prédictions de catastrophes planétaires qu’on entend ici ou là me sont totalement étrangères, n’ayant vis à vis de la mort nécessaire, individuelle ou communautaire, que l’attitude chrétienne explicative de mon a-philosophie et vis-à-vis de ses douleurs que celle applicatrice de son utilité pour orienter la liberté humaine, il n’en reste pas moins qu’elles ne peuvent peut-être pas se trouver dénuées de sens.

Le Christ Seul est maître de l’histoire et sait le nombre et le temps de chaque âme.....

Il reste encore qu’un vieillard ignorant assis sur une chaise et pianotant solitaire sur un clavier d’ordinateur, pourrait se demander à quoi il pourrait servir, s’il n’avait en lui cette profonde conviction de l’utile-inutile-jusqu’au-bout, uni à l’humiliante souffrance de la livraison irréductible de Jésus-Christ. À ceux qu’il convient, seront donc données les efficiences derrière lesquelles Jésus aime se cacher et dont de LUI-MÊME, il n’aurait aucun besoin. Soulever les enfants-de-rien, dont soi-même dans une confiance sans borne au Père des cieux de même qu’en leur utilité présente, voilà donc ce qu’il faut ajouter à tout ce qui a été fait dans ce sens jusqu’ici.

09/03/05a Prédicat ( universel )

Il me semble que la Kabbale juive a toujours fait un rapprochement entre les sciences physiques et la torah. Mais les penseurs juifs de notre époque s’aperçoivent que la Torah va beaucoup moins loin que l’audace de l’humanité de Jésus-Christ. D’où ce regain d’attention pour la personne humaine du Christ. Toutefois le côté mystique de cet homme, développé par l’Église, gêne encore. En effet ce qui peut être recherché, c’est un retournement d’Israël vis à vis de leur concitoyen d’il y a 2000 ans dans un but purement objectif. Ce but l’Église catholique ne peut l’ignorer - et ce site www.f-v-m.net veut s’en faire l’écho - car tout dans l’univers temporel est humiliation du DIEU éternel. Mais comme Elle, nous devons nous soumettre à l’enseignement de l’unité humaine ET Divine du Christ Jésus dont seul le nom sauve.

C’est pourquoi il nous faut insister avant tout, au sens large, sur ce que l’Église appelle la "communion des saints" et qu’on peut traduire par "interférence des esprits-de-rien de toutes les religions". C’est vraiment à eux que revient l’orientation de l’intention droite des âmes du monde entier.

Et pour cela il faut en revenir, comme la vie du Christ, toujours à la nécessité primordiale de la LIVRAISON à DIEU et aux autres. Le leitmotiv qui en découle, nous le connaissons tous; et peu veulent le faire leur, hormis les âmes choisies que Jésus appelle "les ouvriers de la moisson". Mais tous peuvent en contempler les exigences extrêmes dans la souffrance humiliante, nue et absolue, de la vie de Jésus-Christ, DIEU-homme, parfaitement Trinitaire.

12/03/05a Prédicat ( conclusion )

Comment conclure ces prédicats? En m’enlisant dans la technique scientifique? Il n’en est pas question. J’en ai presque trop dit sur les mathématiques. C’est vrai que l’a-philosophie doit ouvrir ou entériner, par sa métaphysique unitaire, l’aboutissement dans la tradition de la théologie et d’autre part de la science dans sa recherche fondamentale. Elle nous fait apparaître tout l’acquis dans ce domaine comme un peu préhistorique. Aussi c’est à se demander quelle époque le verra fleurir complètement.

Mais l’enjeu est de fait encore plus considérable. Il s’agit d’annoncer rien de moins que la croix dans son humiliation Divine ne doit plus être un scandale pour les juifs et folie pour les païens pour un temps qu’il faudrait estimer sans fin ....

Aussi se considérant soi-même, il faut donc aller plus au fond de l’efficacité nécessaire et rappeler l’indispensable communion d’Église des esprits, visiblement ou invisiblement, conduisant l’humanité. Sachons reconnaître dans ces esprits bénéfiques, les enfants-de-rien de toutes religions, comme le Christ et avec LUI, en livraison à DIEU et aux hommes.

D’un autre côté, je ne vois pas comment il me serait donné d’approfondir de moi-même les données de ces prédicats! D’autres probablement sauront le faire. Les pensées humaines pourront par ailleurs chercher à se tortiller dans tous les sens. Mais c’est vrai cependant que l’emballement des connaissances reste un sujet de préoccupation majeure et que je dois plutôt que d’y participer avoir à le calmer en offrant sans cesse le sacrifice du Christ....

29/04/05 ...Il faut reconnaître le néant lié à notre liberté de laquelle DIEU veut s’unir et pour le faire reconnaître aux autres libertés révoltées humaines, il faut embrasser, ne serait-ce qu’en esprit, la vie de déréliction humiliante du seul Rédempteur Jésus-Christ ....

DIEU Éternel de l’éternité s’humilie dans la temporalité de l’univers, pas tant dans chacun des corps d’êtres humains hiérarchisés qu’IL S’est fait que dans la liberté qu’IL leur a donné pour S’y assujettir et leur donner l’éternité, malgré la souffrance sans mesure qu’Il ressent en Jésus-Christ de leur révolte...

... Un néant librement pécheur et ingrat, s’il se reconnaît, ne peut que chercher à approfondir toujours plus le sur-abîme de la Miséricorde et Bonté Divine ...

29/04/05a notification

Il est certain que si les fondements de l’ intégrateur de Puissance sont établis par un mécréant et non pas par un homme de foi catholique vivante, l’humanité est perdue rapidement. Mais DIEU seul sait la Miséricorde qu’Il veut faire au monde en se servant des enfants-de-rien et le nombre des élus qu’avec leur liberté IL veut SE choisir. Cependant l’Église catholique doit être instamment sollicitée puisqu’il va se passer l’inverse du temps de Galilée. À ce moment-là, la science en se mathématisant a provoqué une certaine distance avec la religion. Cette fois-ci c’est en mathématisant les évangiles et corroborant les données de la religion que la science forcera l’Église catholique a assumé l’exacte dimension des derniers temps.....

30/04/05 .... Toujours au centre de la croix des souffrances du Christ et de l’Église, ...être ensemble ce point de néant libre dans le temps et dans l’espace où DIEU aura pu se poser .... (une de mes filles se meurt...)

30/04/05a exemple : Le professeur Reeves, astrophysicien connu, interviewé à la télévision, disait:" les savants font de la science pour se rassurer eux-mêmes, parce que les fantômes, ..."tout ça" ...., les effrayent. Eh bien, justement, avec l’intégrateur de puissance (moteur à ion, char du Seigneur,... appelez le comme vous le voulez) la science va se trouver affrontée, à nu, avec "tout ça", ce qui n’est autre chose que l’eschatologie .... Elle aura le choix de s’y soumettre en respectant Jésus-Christ qui enseigne "JE SUIS celui qui suis", pour l’épanouissement du monde ou de vouloir se l’approprier, provoquant sa fin monstrueuse. En réalité lorsque Teilhard de Chardin parle de la spiritualisation de la matière, il serait beaucoup plus juste de parler de la prise de conscience par l’homme de la spiritualité de la matière, qui a toujours été spirituelle, et surtout de comprendre le dilemme auquel l’homme, va plus que jamais se trouver affronté jusque dans ce domaine. Prions pour que les suites de la tentation toujours actuelle du péché originel perpétré par le premier couple humain arrivé à maturité sociale et religieuse parfaite, leur permettant l’union mystique intégrale qu’il devait transmettre au reste de l’humanité, puissent être avec la grâce de DIEU surmontées par l’Église .....

09/05/05a exemple2

Si des militaires ont déjà réussi à créer de manière expérimentale le moteur à ion intégral simple qui se présente, sous la forme photographique d’OVNI prise en Amérique du nord, d’une boule apparaissant et disparaissant immédiatement à cause de sa grande vitesse, ils sont encore loin de compte. Même si d’autre part, en Europe je crois, on aurait vu des ensembles de ces boules (lumineuses) en association genre soucoupe volante, cet appareil même groupé me paraîtrait inoffensif car il ne saurait porter, à mon avis, de charges atomiques qui sont l’obsession des armements nationaux. En réalité il serait la route vers le moteur à ion intégral complet (ou intégrateur de Puissance comme je l’appelle ou char du Seigneur comme le nomme Luz Amparo Cuevas) dont la performance, je l’ai dit et redit, sera de donner à l’humanité l’énergie illimitée dont elle a besoin pour son épanouissement. Cependant il est une condition drastique pour en assurer la pérennité. En effet comme je m’escrime à le dire pour plusieurs raisons, la science va se trouver face au problème de l’union à la foi chrétienne. Acceptera-t-elle de s’y soumettre pour le bien humain de tous ou voudra-t-elle la phagocyter à son avantage en provoquant ipso facto la fin de l’univers? DIEU seul sait la Miséricorde qu’IL veut faire à l’homme avec son aide et c’est pourquoi entre autre l’esprit de mon journal, même s’il n’est pas toujours compréhensible, est plus important que toute autre chose.

12/05/05 ;;; l’amour de Dieu et du prochain au centre de la croix .....

12/05/05a l’art oublié

Il faut que malgré tout je dises quelques mots de l’art pictural auquel il m’a été donné d’être affronté malgré le fait qu’il n’ait pu être accepté par aucun professionnel et de ce fait paraisse forclos.

Après la période de ma peinture typiquement angulaire qui avait commencé à susciter l’opposition (tableau des "chevillards", etc...cf. mé-art) , la période sphérique a suivi tout de suite après. Cette dernière avait pour but intuitif d’harmoniser les fins fonds du phénomène de la vision que l’on trouve chez les bébés avant son éducation par l’expérience tactile. Malgré la contestation générale, ça été pour moi un succès. J’y ai eu du reste des amateurs même s’ils n’ont pas été très nombreux (cf. Mé-art). Ma femme par son exclamation instinctive lors d’un spectacle théâtral, m’a confirmé dans l’idée que ce type de vision reste bien fondamental chez l’être humain, d’où la proclamation de ma "culotte de pyjama" que "toute l’esthétique se construit par l’interférence de sphères". Du reste dans la méthode de vulgarisation de la stéréoscopie qu’il m’ a été donné de mettre au point le 21 Mai de l’année dernière (jour anniversaire de mon mariage), il en est tenu compte.

Ensuite toujours en recherche d’arriver à une approche plus serrée des fondements de l’art, non seulement de l’esthétique mais aussi des règles profondes de la vision humaine, il m’ a été donné à travers un tableau intuitif du Sacré Coeur de découvrir ce que j’ai appelé à la fois la "stroMboscopie" (application de la stroboscopie à l’esthétique) et le taggisme (application de l’esprit des taggs à un art plus complet). Ce n’était pas ma vocation de développer beaucoup la stroMboscopie du fait de son origine spirituelle beaucoup plus élevée que celle de l’art. Il en a été de même du taggisme qui n’est pas l’application de la reproduction visuelle des sujets par des croix ou des points, comme le peintre Vasarelli, je crois, l’a fait, ou bien ce peintre américain qui pour faire scandale a reproduit de cette manière le portrait d’un criminel célèbre, mais qui est un tout autre mode d’expression. Il s’agit en fait de signes distinctifs, tous différents, mais intuitifs à la manière de certains taggeurs, pour tenter de fixer sur la toile ce qui ne pourrait l’être autrement. C’est ainsi qu’on peut arriver à toucher à l’eschatologie qui fait fuir tant de monde. Si j’ai pu produire cependant un certain nombre de ces toiles, je me suis aperçu aussi que dans ce jeu plastique n’entraient pas toujours ceux qui cherchent avant tout une vie religieuse véritable et qui préfèrent les choses communes. Du fait que cela demandait aussi une tension personnelle exceptionnellement intense, j’ai décidé d’arrêter cette expérience et de me tourner vers quelque chose de plus accessible jusqu’au jour où j’ai mieux compris que malgré l’utilité qu’en faisaient les hommes, l’art doit céder le pas à une plus grande profondeur et que pour ce faire, la foi catholique doit prendre la pleine mesure de son universalité spirituelle ( révélation de l’humilité et la douceur sans mesure de DIEU support de SON Amour) et se mettre au service de tous ceux qui ne sont pas contre elle et sont donc ipso facto pour elle.

19/05/05 ... Si nous avons été ( sans aucune exception autre que la Vierge Marie, mère du Christ) tous enfermés dans la révolte spirituelle innée (et davantage peut-être ceux qui n’y croient pas), cela n’a été permis que pour une plus grande exaltation de l’amour humain en Jésus-Christ, couronné dans l’au-delà, à travers les réactions à la souffrance que nous connaissons depuis ....

19/05/05a Questions mystiques à propos de Luz Amparo Cuevas:

J’ai essayé de revoir tout ce que cette voyante avait dit, à ma connaissance, sur les chars du Seigneur dont j’ai fait mention à la suite du livre de Mgr.Aldo Gregori "La Venue Intermédiaire de Jésus" (edit. Parvis).

D’abord le 20/07/04 où, dans mon journal, sans mentionner de date, je parlais de la comparaison de "langoustes" qu’aurait fait cette voyante en me donnant irrésistiblement à penser aux caractéristiques si typiques du moteur à ion (complet) ou intégrateur de Puissance tel que je le nomme. Ensuite le 29/10/04 où je parlais du nom de "char du Seigneur" qui aurait été confirmé en 1998 (?) et donné déjà le 24.2.1983 selon Mgr Aldo Gregori. La revue "Chrétiens Magazine" de René Laurentin aurait pu en citer des passages, mais d’après le seul livre des messages de 1992à1998 de Luz Amparo en ma possession, la description qu’elle en donne le 04/04/92 n’est à proprement parlé que purement apocalyptique.... En fait quoiqu’il en soit, dans les visions prophétiques mystiques, les événements et les images peuvent facilement se mélanger, sans compter la personnalité du sujet. Luz Amparo Cuevas a-t-elle réellement vu cet engin qui serait absolument fabuleux pour ses performances techniques et pour son implication proprement spirituelle entièrement nouvelle dans l’histoire de l’humanité ? A-t-elle seulement interpolé ? Finalement cette réalisation scientifique qui pour moi, impliquerait une responsabilité unique du monde de la science et de l’humanité, est-elle seulement pour l’instant une prémonition d’un temps à venir très éloigné ? L’apport extraordinaire d’énergie qu’elle apporterait au monde humain, doit-il être précédé par une destruction massive et sélective de ceux-ci ou bien est-ce encore une extrapolation de la fin des temps ? Le monde dangereux et instable dans lequel nous vivons n’exclut pas facilement une telle idée ....

Quant à moi, ayant reçu l’intuition précise de cet engin mais en même temps la perception, à ce sujet, du choix qu’il y a à faire entre Jésus-Christ, unique Messie, ou entre l’être humain dans toute l’horreur de sa révolte s’appropriant ce qui ne lui appartient pas, il m’a été donné de l’exprimer après 40 ans de méditation. Je n’y ai pas caché la suite terrifiante de l’anti-moteur et de la fin de l’univers qu’il précédera ...

Ainsi, malgré les modes extrêmes de la voyante , il n’y a pas de doute que le fond de son message reste d’actualité. La Venue Intermédiaire de Jésus se réalisera selon SA volonté et de la manière qu’IL voudra, mais comme je m’efforce de mon côté à le dire, certainement pas sans l’aide co-rédemptrice de ceux que j’appelle les enfants-de-rien.

20/01/07 Bien intangible ...

J’ai dit le 12/12/06 que l’Église catholique ne pourrait accepter la métaphysique unitaire du Principe de Contradiction Moral Divin. En effet telle quelle la notion de Bien qu’elle inclue est ambivalente. Il faut simplement préciser de quel Bien il s’agit d’entendre pour l’humanité. Et là nous n’avons le choix qu’entre celui que propose la vie de Jésus-Christ dans l’enseignement catholique soumis au Pape ou son opposé... La vie de Jésus-Christ, comme DIEU reconnu ainsi par la foi, enseigne avant tout dans son déroulement l’humilité et la douceur du centre Divin, comme il le précise LUI-MÊME à propos de SON coeur, fondement de la vérité de SON Amour. L’amour de DIEU se révèle d’autre part ne pas pouvoir se contenter de la courte vie matérielle de chacun mais vouloir la programmer pour la vie béatifique d’éternité au-delà de l’univers. Ce sont là les deux bases du Bien intangible proposées par les évangiles. C’est l’humanité qui a à se déterminer ....

 

Préambule