21 mai 2004

Introduction

 

Ayant 80 ans et n’ayant aucun intérêt à emporter dans ma tombe le secret de ce que je connais, (n’ayant du reste aucun moyen de le mettre en application puisqu’il me faudrait pratiquement créer un laboratoire petit mais onéreux et que d’autre part pour son expérimentation certaine puisqu’il s’agit d’une appropriation de la vision oculaire, il faudrait une diffusion à grande échelle dont je n’ai évidemment pas les moyens) pour ce secret, c’est à dire, entre autre, celui de la vulgarisation de la stéréoscopie, je vais commencer à publier les données de ce brevet sur internet (site www.f.v.m.net) afin qu’il puisse tomber dans le domaine public et permettre à ceux qui y sont intéressés de développer les images photographiques nécessaires. C’est vrai que beaucoup seront peut-être désorientés par sa simplicité définitive et qu’il est possible que dans la multitude de brevets qui ont été pris dans ce domaine il y en aient eu qui se soient rapprochés du mien, mais étant donné la multiplicité des observations qu’il m’a fallu faire dans mes recherches de peintures et des intuitions incessantes qu’il m’a fallu avoir, la certitude qui est la mienne comme ses raisons me paraissent difficile à partager.

Note: 

Il y a un aspect technique essentiel qu'il faut bien comprendre dans mes travaux de peinture ou de sculpture, c'est à la fois  l'analyse et la recherche du confort de l'oeil dans le relief à travers l'esthétique.... J'ai publié le 21/05/04 les données techniques de ce que je considère comme définitivement nécessaire pour la vulgarisation de la stéréoscopie. Mais il faut bien comprendre que seul un "OEIL" entraîné aux recherches qui ont été les miennes, pourra vraisemblablement  les mettre en pratique. En effet ce qui est recherché, ce n'est pas le relief en soi qui n'a aucun intérêt pas plus pour le spectateur d'une salle de cinéma que pour l'observateur dans la rue. La  chose en définitive désirée dans ce domaine demeure le confort de l'observation situant la vision de l'individu dans l'espace. Du reste que ce soit pour la photographie de l'image à l'intérieur de l'écran par la stéréoscopie ou celle à l'extérieur par l'hologramme, le problème reste le même, à la différence que la définition de l'hologramme n'est pas selon moi encore parfaitement au point.

16 mai 2004

GRILLE stéréoscopique delaye

Préambules

La séparation binoculaire des images donnent de bons résultats quand les yeux peuvent librement palper les profondeurs de l’image (jumelles, microscope stéréo, etc...). Il n’en est pas de même dans la photographie ou le cinéma où l’image est déterminée fixement et où l’oeil ne peut pas dans chaque image tâter librement ses épaisseurs, notamment par des touches latérales multiples.

Le rendu des séparations stéréoscopiques des deux images droites et gauches est de nos jours parfaitement au point aussi bien dans la photographie que dans le cinéma. Mais ce qui manque c’est l’adaptation de l’oeil qui doit aller avec.

Pour rendre à l’oeil sa faculté de toucher et d’osciller, il faut dans cette technique un leurre et comme nous l’avons vu entre autre dans le traité dit StroMboscopique ( site www.f-v-m.net) et comme j’en ai fait l’expérience dans mes diverses recherches picturales, il doit être de trois sortes:

1/ la direction qui doit pouvoir être multiple

2/ la focalisation qui doit pouvoir varier

3/ la profondeur qui doit pouvoir être choisie

,et cela bien entendu pour chaque oeil en particulier.

La direction et la focalisation peuvent être représenter par le dessin d’une grille choisi judicieusement se superposant à l’image.

La profondeur ne peut s’appuyer que sur le jeu de couleurs ,elles aussi, superposées.

En résumé il faut donc que l’oeil , droit et gauche, puisse avoir la sensation d’une superposition triple, sans que cela ne nuise bien entendu, ou le moins possible, à la qualité du rendu photographique, et que cela puisse facilement se pratiquer techniquement.

 

C’est donc par l’élaboration d’une grille de formes et de couleurs adéquates que nous affirmons résoudre ce problème. Pour en faire un tout homogène, une grille étant le produit de modules, il suffit de déterminer la forme précise de ses modules.

Grille qui pourra se placer soit dans l’appareil de prises de vue pour impressionner la pellicule, soit plus simplement devant l’image du projecteur ou de l'écran.

traité   , 1/direction , 2/focalisation , 3/profondeur , 4/conclusion